CASSE-TÊTE, SUITE

C'est pas Borne qui prend l'eau, c'est l'eau qui prend Borne


OBSOLESCENCE PROGRAMMÉE • 

Élisabeth Borne ressemble un peu à ces entraîneurs de Ligue 1 qui «gardent toute la confiance» de leur président de club malgré une série de 10 matches sans victoire : démissionnaire (comme le veut la tradition après les législatives) mais maintenue sans être re-nommée en bonne et due forme par le Président, qui a refusé sa dém’ pour ne pas ouvrir immédiatement le chantier d’un nouveau gouvernement. La Première ministre reste donc en poste, mais jusqu’à quand ? Même à Matignon, on l’ignore...


L'idée d'un monde merveilleux, dans lequel le chef de l’État remanierait son équipe gouvernementale pour éviter que des LREM ne racolent les voix du RN...


 Pour voter, la majo est à 10 voix près. Or, il y a 12 ministres députés [par le code électoral, leurs suppléants doivent attendre un mois avant de pouvoir siéger]. Macron va donc tous les sortir pour les faire redescendre au Parlement, où ils sont beaucoup plus utiles !


La solution serait plutôt de ne pas faire voter la confiance au Parlement après le discours de politique générale d’Élisabeth Borne. Comme Michel Rocard en 1988, à qui François Mitterrand avait épargné cette pratique du vote de confiance, ne disposant pas d’une majorité absolue. 

De quoi garder ses ministres au chaud. Pour l’instant

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