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lundi 15 avril 2024

 

Flamme olympique / illustration  

C'est dans le grand amphithéâtre de l'université de la Sorbonne que l'organisation des Jeux de Paris 2024 a choisi de lever le rideau sur le parcours officiel de la flamme olympique. Cent ans après les Jeux de 1924, l'olympiade revient à Paris, la ville lumière, mais aussi dans le pays du fondateur des Jeux moderne : Pierre de Coubertin.

La flamme olympique sera allumée le 16 avril 2024, lors d'une cérémonie à Olympie, ville mythique des Jeux olympique en Grèce. Elle prendra ensuite le départ le 27 avril, du port du Pyrée (Grèce) à bord du Belem afin de rejoindre la France en traversant la mer Méditerranée. La torche sacrée doit arriver dans le vieux port de Marseille le 8 mai, après une dizaine de jours de navigation.

Le relais de la Flamme se fera en 68 jours. Plus de 12 000 km seront parcouru  

La flamme olympique commencera alors un relais long de 68 jours à travers la France et les Outre-mer. Au total, soixante-quatre départements seront traversés dont cinq territoires ultramarins. La flamme arrivera en Guyane le 9 juin, elle sera ensuite à La Réunion le mercredi 12, puis en Polynésie française le 13 juin. La torche terminera son parcours aux Antilles, avec tout d'abord la Guadeloupe le 15 juin et enfin la Martinique le lundi 17 juin 2024.

La flamme traversera 64 départements français, dont cinq territoires d'Outre-mer  

Dans les départements d’Outre-mer, la flamme traversera plusieurs villes étapes et des sites d’exceptions. En Polynésie Française, Papeete sera la ville d'ancrage, la flamme ira ensuite sur le site de Teahupo’o, qui devrait accueillir les épreuves de surf lors de ces Jeux olympiques. En Guyane, le chef-lieu Cayenne servira de ville étape à la flamme, avant qu'elle ne parte voguer sur le fleuve de Camopi. L’autre moment fort de la traversée de la flamme en terre guyanaise sera son passage par le centre spatial de Kourou.

Le relais de la flamme passera par la base spatiale de Kourou, haut lieu de l'inventivité aérospatiale de la France.  

À La Réunion, les différents porteurs se relaieront sur le magnifique site de la plaine des sables, mais aussi à la pointe de Langevin. Saint-Denis servira de ville étape. En Guadeloupe, la flamme arrivera le 15 juin. Baie-Mahault (Grande-Terre) sera la ville étape et le parcours du relais passera par le site du mémorial acte. Le dernier tour dans les Outre-mer aura lieu en Martinique, le 17 juin 2024. Fort-de-France, la ville de l'ancien homme des lettres et député Martiniquais Aimé Césaire, sera ville étape. La torche passera par la Montagne Pelée au Morne-Rouge, dans le nord de l'île. Cette dernière halte marquera la fin du passage de la flamme dans les territoires d'Outre-mer.

La flamme arrivera en Guadeloupe en bateau

La flamme olympique quittera Brest le 7 juin, à bord du maxi trimaran Banque Populaire XI, d'Armel Le Cléach et rejoindra la Guadeloupe, après sept jours de navigation. Le lendemain, elle prendra la direction de la Martinique, toujours à bord de ce même bateau, pour arriver le lundi 17 juin. 

La flamme Olympique va traverser l'Atlantique en bateau pour atteindre la Guadeloupe après sept jours de navigation  

Le périple de la flamme olympique prendra fin le vendredi 26 juillet 2024, en Seine-Saint-Denis puis à Paris. Lors de cette dernière journée, la vasque olympique sera allumée et marquera le début des épreuves des Jeux olympiques de Paris 2024.

mardi 12 septembre 2023

JEAN SVILARICH 1944-2019

 

JEAN SVILARICH 1944-2019

disparu en mer


Son premier vrai bateau de course est un Tina le F 4247 KRISHNA III acheté en 1976


Le voilier Tina est un monocoque course-croisière, construit par le chantier Carter Offshore en Pays-Bas. Ce voilier Quille fixe, gréé en Sloop en tête, réalisé par l'architecte naval Dick Carter, mesure 11.25 m de long. La production a démarré en 1967 et s'est terminée en 1969. 40 exemplaires du bateau ont été produits.




Eric Tabarly avait confronté son Pen Duick II à Krishna, qui alignait les victoires. ©Beken of Cowes



11 Classe III en 22h39'DAVID
Cannes-Calvi-Cannes: DNF

1968 SNIM, Marseille: 1er/?? Classe III
Giraglia: 3e/?? Classe III en 53h35' à 14" d'Helisara,

1969 SNIM, Marseille: ?e/?? Classe III,

1970 SNIM, Marseille: 1er/?? Classe III, Patrick DAVID, 21ans
Giraglia: 6e/?? Classe III,

1972 SNIM: 3e/? One TonnerREBOUD
Giraglia: 10e/16 Classe III en 67h08'

1976 Nouveau propriétaire, Jean SVILARICH, basé à Perros Guirec

1977 27 aout, 

 entre l'Angleterre et la France

1978 Mars "Régate"





"On retrouve la trace de ce "TINA Jaune" à Cherbourg dans les années 70/80 où il fréquentait assidûment les lignes de départ.

Il participe notamment aux fameuses régates du mardi soir !

Les époux  Svilarich ont beaucoup navigué et régaté en Bretagne, Angleterre, Irlande, puis Mediterranée,  Gréce et Turquie.

1996 Achat du bateau à Perros Guirrec par Mr PESCE qui raméne le bateau à Marseille et change son nom en

Pernez II, F 4247







JEAN SVILARICH
Jean SVILARICH
1944   2019
disparu en mer des Caraïbes 


.
Jean
Bateau actuel : Dean 441,  catamaran 

Monocoques précédents   : un Tina, KRISHNA III, puis un prototype ALUBAT "monomaran"  Eolis III
Programme : Atlantique Nord
Le + du catamaran : "Nous naviguons à deux le plus souvent, donc un bateau facile à manœuvrer est un vrai plus"

Jean a commencé à naviguer très jeune…en Bretagne.  La suite, c'est logiquement du dériveur, puis un petit cotre, Le Saint-Nicolas avant, à 30 ans, de s'acheter son premier voilier : un TINA, coursier des mers nommé KRISHNA III,  peint en jaune safran!  

Ensuite, le cotre alu Alubat à été vendu car il a acheté un Dean 441 ! 

"Mes navigations m'ont permis de naviguer en Bretagne et sur les côtes d'Angleterre et d'Irlande. Puis je suis descendu sur les côtes cantabriques et connu toutes la Méditerranée avec mon épouse Barbara à l'époque où toutes ces côtes étaient encore " civilisées" comme la Tunisie,  la Lybie, la Grèce, la Turquie, la Croatie (jusqu'à Venise).... 


Naviguant le plus souvent à deux, et conscient qu'à 70 ans, on n'est plus aussi souple qu'à 20 ans, Jean et Barbara ont choisi le cata pour son confort, bien sûr, mais aussi pour sa facilité de manœuvre. Et puis compte tenu de leur programme de navigation,  c'est une vie dans les mouillages qui les attend, et Barbara n'aime pas, mais alors pas du tout la gîte d'un monocoque…
"Après avoir fait un tour de ce qui existe sur le marché, nous avons à opté pour le Dean qui nous donnait une possibilité d'aménagement à notre convenance à un prix raisonnable pour un bateau confortable et marin."






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