Mais plus chaud que l’amour, plus pur que l’amitié
Dépassant la mesure humaine qui te borne,
Forme d’un désespoir qui te fait espérer,
N’es-tu pas cet enfant pétri de solitude
Qui porte son tourment et son rêve à la mer ?
Louis Brauquier, Je connais des îles lointaines, Poésies complètes, préface d’Olivier Frébourg, collection « La Petite Vermillon », La Table Ronde.