Bonjour, nous sommes le 29 septembre et c'est le bon jour pour déconnecter (le temps du week-end).

Élisabeth Bornéo FAIT MAISON Darmanin prêt à charger sur Matignon ; et justice partout mais police nulle part à Lyon Quand tu prends l'air de ne pas y toucher. l’Assemblée a adopté hier le dispositif conditionnant le versement du RSA à 15 heures hebdomadaires d'activité pour les allocataires AU COMPTOIR Borne ne comprend pas pourquoi elle ne comprend pas les Français ; Panot sépare la députée Chikirou de l'homophobe ; et première nouvelle : LR est de gauche LE CHIFFRE 19,7 VU DE... Perpignan : LFI s'implante en vue de 2026 BO BO BONUS Jean-Luc Mé-long-chon ÇA ARRIVE AUJOURD'HUI La Bretagne, centre du monde politique L'ADDITION Jouons un peu avec Borne En politique comme dans la vie, parfois, on a tendance à bloquer. D'où notre interrogation : sur quoi Borne fait-elle «un blocage» ? • La façon de parler de Bruno Le Maire, qui l'irrite • Le film Anatomie d'une chute, qu'elle refuse de voir • La Coupe du monde de rugby, qui ne la passionne pas • L'interdiction de vapoter dans l'hémicycle, qu'elle ignore • Le dernier album de Juliette Armanet, qu'elle n'aime pas • Les discussions entre députés à l'Assemblée, qui l'ennuient   Pour jouer, cliquez sur le gif ci-dessus ou plus simplement ici. Et avant de nous quitter, les résultats de notre jeu d'hier. 30% de bonnes réponses, ça reste faiblard. En effet, Le Maire se «mord les doigts tous les jours» de pas avoir acheté dans l'immobilier quand les taux étaient bas. Et non, il ne regrette pas d'avoir écrit des passages très osés dans son dernier livre, comme l'ont cru 791 personnes choquées par les renflements bruns. «À la minute où Darmanin est nommé, je constitue un groupe d’une cinquantaine de députés de la majorité venus de la gauche», a menacé la Première ministre cet été, selon le Monde. à 3 voix près. Merci la gauche ! C'est donc ça la gauche ? C'est un problème que les parents d'enfants connaissent bien : difficile d'accorder une chose à l'un de ses rejetons sans faire de même pour l'autre. Les Bretons l'ont bien compris et, hier, après que Macron a défendu l'idée d'une «autonomie à la Corse», le président de la région Bretagne s'est engouffré dans la brèche. «J'entends que le président de la République parle de plus de liberté, d'autonomie pour la Corse, pour agir dans des domaines importants comme le logement, les langues ou d'autres sujets, eh bien nous demandons la même chose», a déclaré Loïg Chesnais-Girard en marge du congrès des Régions de France. Reste plus qu'à attendre l'avis des Basques, des Alsaciens ou des Savoyards... Les Français : qui sont-ils, quels sont leurs réseaux ?  Capture d'écran Complément d'enquête/Quotidien