Marie Tabarly raconte d’abord les jours dantesques qui ont précédé le franchissement du cap Horn. Elle évoque notamment « un surf d’anthologie à 28,3 nœuds ». Dans ces conditions très difficiles, avec une mer forte et désordonnée, l’équipage a dû rester concentré pour éviter que Pen Duick VI ne parte au lof. Marie Tabarly revient ensuite sur le passage du cap Horn, la délivrance, puis le moment où le bateau s’est fait dépasser par Charles Caudrelier, leader de l’Arkéa Ultim Challenge.

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