Le Cid (sic)
Hollande, Ô désespoir, Ô stupide énarchie, N’avons-nous tant voté que pour cette infamie ? Et ne sommes-nous blanchis à tant et tant œuvrer Que pour voir en seize mois fleurir tant d’insuccès ? ... Nos cœurs qu’avec ardeur faisons battre « français » Nos cœurs sont las de vous et de tous vos compères. Blessés, trahis, usés, l’ambiance est délétère ; Une affaire survient et fait tout exploser. ... Ô cruel souvenir d’une gloire passée Œuvre de tant d’histoire décimée le 6 mai Nouvelle hiérarchie fatale à nos espoirs, Précipice abyssal où nous allons tous choir. Faut-il, par votre faute, voir ce pays crever Et souffrir sans un mot ou souffrir de dégoût ? Hollande ! Il est grand temps de redonner à tout, Une plus grande exigence et un plus grand projet. Président, la fonction n‘admet point d’à peu près. Et les faux pas nombreux que vous accumulez Les erreurs, les mensonges et cette suffisance Font déborder la coupe de notre tolérance. Le moment