M. Jean Cosson, conseiller honoraire à la Cour de cassation.
Sont promus officiers :
MM. Paul Fort, vice-président de l'union des sections de l'Aveyron de la société nationale Les Médaillés militaires ; Louis Jolivet, président de la section des Côtes-du-Nord de la société d'entraide des membres de la Légion d'honneur ; Alexandre Loyzance, ancien sous-préfet ; Guy Michaud, ancien professeur à l'université Paris-X.
Vendeur:lapinousse13(2.729)98.5%, Lieu où se trouve:Geispitzen, Lieu de livraison: FR, Numéro de l'objet:143203310756Superbe livre LÉGION D HONNEUR I S B N 2-7025-0330-6 Dans sa boite Etat ++++++Condition:Comme neuf, Objet modifié:Non, Auteur:BONNEVILLE DE MARSANGY, Date de publication:1970, Éditeur:EDITION NEUF
Cette Joconde animée illustre les capacités effrayantes de l'intelligence artificielle
Des chercheurs de Samsung ont mis au point une intelligence artificielle qui anime les portraits, qu’il s’agisse de visages peints ou de photos. Cette technologie utilise la technique du deepfake, une méthode ultra-réaliste de trucage qui favorise la désinformation.
Des scientifiques du centre de recherche sur l’intelligence artificielle de Samsung ont réussi à animer La Joconde, célèbre tableau de Léonard de Vinci. Dans une vidéo publiée sur YouTube le 21 mai dernier, trois clips vidéo bluffants montrent Mona Lisa en train de bouger la tête, la bouche ou encore les yeux, comme s’il s’agissait d’une vraie personne.
Il existait déjà des outils capables de mettre au point des deepfakes, ces vidéos truquées mais ultra-réalistes capables de « faire dire n’importe quoi à n’importe qui », comme le rappelle L’Obs. Mais c’est la première fois qu’une intelligence artificielle arrive à un tel résultat seulement à partir d’une photo.
Pour y parvenir, les chercheurs, basés à Moscou, ont « nourri » l’intelligence artificielle (IA) avec une base de données de 7 000 images représentant des célébrités, explique le New York Post. Pour comprendre comment le visage s’anime, l’IA a appris les expressions faciales « à partir d’ensembles de données[des vidéos, NdlR] de trois sujets humains », détaille Live Science. Après avoir ingurgité toutes ces données, l’IA les a ensuite appliquées à une image fixe.
Des craintes sur l’usage des deepfakes
La technologie a aussi été testée sur des photos de célébrités du XXe siècle, comme Marilyn Monroe, Salvador Dalí ou encore Albert Einstein. Les chercheurs ont publié leur étude dans arXiv, une revue de prépublication d’articles scientifiques, mais les résultats n’ont pas encore fait l’objet d’un examen par leurs pairs.
Selon le New York Post, les scientifiques pensent que « leur intelligence artificielle pourrait avoir des applications pratiques pour la téléprésence, y compris la vidéoconférence et les jeux multijoueurs, ainsi que l’industrie des effets spéciaux ».
Mais les médias se font surtout l’écho des craintes liées aux deepfakes. En effet, ils peuvent être utilisés à mauvais escient. Du fait de son réalisme, cette technologie pourrait faciliter la désinformation, notamment en politique.
L’exemple le plus célèbre concerne Barack Obama. Pour sensibiliser les lecteurs sur cette question, le site d’information américain BuzzFeed a publié en 2018 une séquence où l’on entend (faussement) l’ancien président américain dire que « le président Trump est un idiot total et absolu». En réalité, Barack Obama n’a jamais prononcé cette phrase, mais la vidéo est impressionnante de réalisme.
Les chercheurs soulignent toutefois la complexité d’une telle technologie : réaliser des modèles 3D de tête humaine nécessite des« dizaines de millions de paramètres », disent-ils. L’étude explique aussi que le système de vision humaine est très sensible aux «erreurs, même mineures, dans la modélisation de l’apparence des têtes humaines ».
500 ans après la mort de Léonard de Vinci, la France célèbre le génie italien italien de la peinture et de la science, en plusieurs lieux, du château d'Amboise au Louvre en passant par Chantilly.
Le 24 octobre 2019, le musée du Louvre proposera une rétrospective inédite. Le musée détient à lui-seul 22 dessins et 5 des 22 tableaux de Léonard de Vinci dont La Joconde.
Christian Petzold s’est librement inspiré du roman Le Retour des Cendres de l’écrivain français Hubert Monteilhet. Le roman met également en scène une jeune femme qui revient de camp de concentration et tente de reconstruire sa vie.
Exactitude historique
Au début du film, des soldats américains demandent brutalement au personnage de Nina Hoss d’enlever les bandages qu'elle a sur le visage. En effet, les recherches qu’a effectuées le réalisateur lui ont fait découvrir qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, de nombreux nazis se faisaient passer pour des blessés pour pouvoir fuir le pays et ainsi échapper aux Américains.
Tournage de courte durée
Le tournage a duré 36 jours à raison de 8 heures de travail quotidiennes.
Sobriété
Aux antipodes du film à grand spectacle, le réalisateur Christian Petzold a choisi de jouer la carte de la sobriété. Si certains décors de reconstitution de la Seconde Guerre mondiale se sont révélés très onéreux, le cinéaste n’a choisi de les montrer que quelques secondes : "C’est ça, la véritable richesse. Le danger, c’est de montrer trop longtemps ce qui coûte cher", déclare-t-il.
Choix de la chanson
Speak Low, la chanson principale du film qui revient à plusieurs reprises, est une interprétation de Kurt Weill de 1943. Elle provient de la comédie musicale One Touch of Venus avec Ava Gardner. Le réalisateur Christian Petzold l’a choisie car c’était "l’histoire d’un Pygmalion qui veut épouser une femme. C’était la chanson parfaite", précise-t-il.
Paroles
Speak low when you speak, love Our summer day withers away too soon, too soon Speak low when you speak, love Our moment is swift, like ships adrift, we're swept apart, too soon
Speak low, darling, speak low Love is a spark, lost in the dark too soon, too soon I feel wherever I go That tomorrow is near, tomorrow is here and always too soon
Time is so old and love so brief Love is pure gold and time a thief
We're late, darling, we're late The curtain descends, everything ends too soon, too soon I wait, darling, I wait Will you speak low to me, speak love to me and soon
Time is so old and love so brief Love is pure gold and time a thief
We're late, darling, we're late The curtain descends, everything ends too soon, too soon I wait, darling, I wait Will you speak low to me, speak love to me and soon Speak low
Mardi 22, le marché de la Duke aura lieu sur les quais de Tréguier. La pomme de terre primeur sera à l'honneur.
La renaissance de la pomme de terre Duke prendra acte le 22 mai, jour du marché à Tréguier. Un véritable mariage entre le maritime et l’agricole.
Cette pomme de terre tenait une grande place dans le cœur des Trégorrois et grâce à la volonté et aux efforts conjoints d’un collectif d’associations et de maraîchers locaux, la voici qui renaît et se met en lumière autour des festivités de la Saint Yves.
Un documentaire sur l'une des figures de la vie politique française et sur la campagne présidentielle de 2017 s'apprête à sortir en salles ce mercredi 23 janvier. Le documentaire de Pierre Carles et Philippe Lespinasse, Un berger et deux perchés à l'Elysée ?, est consacré à la candidature de Jean Lassalle. Député dans les Pyrénées-Atlantiques, Jean Lassalle s'était fait connaître en 2006. Il avait entamé une grève de la faim de 39 jours afin de protester contre le déplacement d'une usine. 150 emplois étaient directement menacés.
Pierre Carles et Philippe Lespinasse ont suivi Jean Lassalle lors de la dernière élection présidentielle.
Voici le synopsis du documentaire :
"L’ancien berger, Jean Lassalle, décide de se présenter à l’élection présidentielle. Ni une ni deux, Pierre Carles et Philippe Lespinasse, deux réalisateurs étiquetés de gauche, mais un peu perdus politiquement, décident de passer à l’action : Ils se proclament ses conseillers de campagne, avec l’ambition secrète de révéler sa vraie nature, celle d’un révolutionnaire anticapitaliste, égaré chez les centristes depuis 30 ans ! Et si Jean Lassalle, après tout, était un Correa à la sauce béarnaise ? Contre toute attente, le montagnard se qualifie pour le premier tour ! Victoire ? Nos "spin doctors" pieds nickelés et leur champion ne sont pas au bout de leurs surprises…"
Durant sa carrière, Pierre Carles a travaillé sur une dizaine de documentaires. Les thèmes principaux de ses œuvres reposent sur la critique des médias (Pas vu pas pris, Enfin pris ?, Les Ânes ont soif, Fin de concession). Pierre Carles a également signé des portraits de personnalités subversives comme le sociologue Pierre Bourdieu (La Sociologie est un sport de combat) ou bien encore le professeur Choron (Choron dernière).
Ce documentaire consacré à Jean Lassalle a été coréalisé avec le grand reporter Philippe Lespinasse. Ils ont déjà travaillé ensemble sur Tant Pis Tant Mieux et Roger mort et vif.
Pierre Carles et Philipppe Lespinasse ont donc suivi Jean Lassalle pendant plus d'un an dans le cadre de ce documentaire et ont immortalisé des séquences cultes.
Le film a déjà été présenté en avant-première dans de nombreuses villes à travers l'Hexagone.