jeudi 28 juillet 2022

LE COIN DES CURIOSITÉS

 


comprendre l'Histoire à l'échelle du Grand Ouest

Redécouvrir des personnages oubliés

La rubrique "Histoires d'Ouest" qui paraît chaque samedi en fin de journal et sur le site ouest-france.fr dans une version enrichie, n'a pas pour seul objectif de rappeler les événements marquants du passé de nos régions.

C'est aussi l'opportunité de ressortir de l'ombre des personnages populaires en leur temps dont l'Histoire n'a pourtant pas retenu les noms.


C'était le cas, cette semaine, avec la parachutiste bretonne, Emma Le Roux, admirée dans les "Années folles" avant de disparaître totalement de la circulation aérienne et terrestre.

La courageuse jeune femme de Saint-Brieuc qui a, entre autres, fréquenté la grande aviatrice et journaliste Marie Marvingt (lire La fiancée du danger de Michèle Khan), s'était pourtant illustrée dans de nombreux meetings en France et à Bruxelles. Le lien "Histoires d'Ouest", ci-dessous, vous permettra de faire sa connaissance si vous le souhaiter.


Dans cette newsletter nous ferons aussi un crochet par l'impressionnant cimetière de bateaux de Landévennec, dans le Finistère, et par Villers-sur-Mer (Calvados), par le biais d'une photo inédite de la plage normande à l'été 1922, il y a pile cent ans.


Il sera également question de la catastrophe de Brest du 28 juillet 1947, de Jean Chouan, de Louis Blériot à la Une. Enfin, un numéro d'Ouest-France de 1972 nous fera part de l'étonnante découverte d'un yogi de l'Himalaya qui a vu le Yéti... Une bestiole, ma foi, bien sympathique.


Bonne lecture !



Olivier Renault et Didier Gourin, journalistes à Ouest-France

Histoires d'Ouest

Emma, Le Roux, l'intrépide parachutiste bretonne des "Années folles" tombée dans l'oubli  

Dans les années 1920, une jeune Bretonne a fait frissonner les foules avec ses sauts en parachute. Les journaux ont régulièrement signalé ses performances pendant trois ans puis elle est tombée dans l’oubli. Elle s’appelait Emma Le Roux.

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À Landévennec, le cimetière marin est un havre de paix pour les anciens bateaux de guerre  

À la pointe du Finistère, les anciens bâtiments de la Marine nationale attendent de gagner leur ultime escale, un...

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Dans les archives d'Ouest-France

Le 28 juillet 1947, scénario catastrophe à Brest

Un cargo rempli de nitrate d’ammonium, l’Ocean Liberty, explose en rade de Brest. Le bilan est très lourd : vingt-six...

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La Une. Montage de haut vol en première page !

Puisque notre mois de juillet a été largement consacré à l'Ouest aérien, finissons-le en beauté avec cette Une du 27 juillet 1909.

Ce jour-là, L'Ouest-Eclair revenait sur "le triomphe de Blériot" qui, deux jours plus tôt, avait réussi à traverser la Manche en avion.

La photo retenue pour illustrer l'article a une petite particularité : le visage de l'aviateur a été collé sur le nez de son avion. L'intérêt de cet "effet spécial" qui sera très très rarement utilisé en Une, est triple. Son originalité attire l'attention et rompt avec l'habituelle sévérité de la première page. La dimension informative de l'illustration est aussi renforcée par l'artifice qui permet de mettre, tout autant, en valeur l'avion que le visage du pilote. Enfin, le collage apporte une touche humoristique à l'ensemble et fait de l'événement un joyeux exploit. (O.R.)

Le livre. Jean Chouan et les faux-sauniers

Ce n'est pas seulement une biographie de Jean Cottereau dit "Jean Chouan", célèbre contrebandier du sel et contre-révolutionnaire mayennais, que nous propose Denis Messager dans son livre : Jean Chouan et les autres, paysans, faux-sauniers, insurgés : chronique d'une famille de l'Ouest, mais une immersion dans la France rurale des XVIIIe et XIXe siècles.

Le co-président de l'association des amis du musée Jean Chouan à Saint-Ouën-des-Toits, en Mayenne, livre ici le résultat de dix années de minutieuses recherches et nous fait découvrir une famille décidément haute en couleur.


614 pages. 25 €.

La photo. Dolce vita à l'ombre de la grande villa disparue de Villers-sur-Mer

Cette semaine, direction Villers-sur-Mer ! Mais sur la plage du Villers d'hier. Celui d'il y a cent ans tout rond. Cette très jolie photographie sur plaque de verre a été prise à l'été 1922 sur le sable de la station balnéaire du Calvados.


En dehors de la sympathique scène de plage d'autrefois, nous observons dans le fond à droite, l'une des villas emblématiques de Villers-sur-Mer : "La Burgonde". Ne la cherchez pas, elle n'existe plus. Cette impressionnante bâtisse a été construite "en 1890 pour Abadie, fabricant de papier à cigarettes au Theil-sur-Huisne (Orne)", nous apprend le site

mardi 26 juillet 2022

J.O. 2024

 


Le Président des Anneaux





ÉCHELLE DES PEINES • 

C’est le plus faible niveau de sanction que prévoit le règlement intérieur de l’Assemblée. Hier, la présidente de la chambre basse Yaël Braun-Pivet (Renaissance) a infligé à son collègue marcheur Rémi Rebeyrotte un simple rappel à l’ordre sans inscription au procès verbal. L’élu de Saône-et-Loire, qui devra aussi s’acquitter d’«excuses publiques inconditionnelles» exigées par sa présidente de groupe Aurore Bergé, avait fait un salut nazi dans l’hémicycle, soit disant pour expliquer à un député RN de ne pas le faire lui-même. «Je prononcerai la sanction qu'il mérite», avait promis Braun-Pivet. Mais Rebeyrotte peut s’estimer heureux de ne pas avoir écopé du niveau de sanction supérieur, à savoir un rappel à l’ordre avec inscription au procès-verbal de la séance, qui entraîne une retenue d’un quart de l’indemnité mensuelle du député (1 378 euros). C’est ce dont ont été punis François Ruffin (LFI) pour avoir porté un maillot de foot en hémicycle dans une défense du sport amateur, Pierre Henriet (LREM) pour avoir traité Mathilde Panot de «poissonnière»Jean Lassalle pour avoir arboré un gilet jaune, Julien Aubert (LR) pour s’être adressé à une présidente de séance par des «Madame le président» répétés, ou encore Patrick Le Ray (UMP) pour avoir imité les caquètements d'une poule à l’adresse d’une députée. Des faits éminemment plus graves qu’un salut nazi, comme chacun sait.


CINÉMA

 À voir

Topkapi, le lundi 25 juillet, à 22h45, sur Arte.

Écrans

“Topkapi”, le film de casse qui inspira la saga “Mission impossible”

Considéré comme mineur dans la carrière de Jules Dassin, ce long métrage sorti en 1964, à voir ce soir sur Arte, peut être fier de sa descendance illustre. Attention, ce texte révèle certains éléments de l’intrigue.


Considéré comme mineur dans la carrière de Jules Dassin, le film sorti en 1964, à voir ce lundi 25 juillet sur Arte, peut être fier de sa descendance illustre, de “Mission impossible” à “Ocean’s Eleven”. Attention, ce texte révèle certains éléments de l’intrigue.

1955. Jules Dassin signe Du rififi chez les hommes : il filme, pendant plus d’une demi-heure, avec une minutie d’horloger, le cambriolage d’une bijouterie parisienne. Le sens du détail, quasi obsessionnel, de ce classique du film de casse allait inspirer Jean-Pierre Melville jusqu’à ses dernières œuvres, au début des années 1970, Le Cercle rouge et Un flic.

1964. Dassin récidive avec Topkapi. Un groupe de voleurs spécialisés (le cerveau, l’inventeur, le costaud) projette de s’emparer d’une dague sertie d’émeraudes, exposée au palais-musée éponyme, à Istanbul. Le film se termine par une séquence d’anthologie, presque une autoparodie de celle de Du rififi chez les hommes : un acrobate accroché à une corde (joué par Gilles Ségal), tête en bas, défie la pesanteur dans un silence presque total, où le moindre bruit entretient le suspense.

Hommage explicite

Production américaine au casting international, Topkapi ne bénéficie pas de la notoriété de son prédécesseur, tourné en France. Il est aussi, à juste titre, considéré comme mineur face aux chefs-d’œuvre noirs de Dassin réalisés à Hollywood entre 1947 et 1950 (Les Démons de la liberté, Les Forbans de la nuit). Pour autant, il ne faudrait pas minimiser son empreinte sur le genre. En dépit de ses digressions comiques ou documentaires, le scénario reste tendu vers l’exécution du casse.

La haute voltige de Gilles Segal inspirera à Brian De Palma la scène culte de « Mission : impossible » dans laquelle le personnage de Tom Cruise s’infiltre dans la chambre forte de la CIA.

La haute voltige de Gilles Segal inspirera à Brian De Palma la scène culte de « Mission : impossible » dans laquelle le personnage de Tom Cruise s’infiltre dans la chambre forte de la CIA.

United Artists

Cet accomplissement d’un travail d’équipe constitue l’essence de la série Mission impossible (1966-1973), créée, deux ans plus tard, par Bruce Geller. L’épisode pilote, Complot à Santa Costa, voit une équipe d’agents secrets dérober deux têtes nucléaires dans la chambre forte d’un hôtel, au cœur d’une dictature militaire des Caraïbes. Le créateur a toujours revendiqué le long métrage de Jules Dassin comme une influence majeure, jusqu’à y glisser un hommage explicite. Dans Topkapi comme dans Complot à Santa Costa, l’un des personnages-piliers de la mission se brise les mains dans une porte, ce qui implique son remplacement au pied levé par un autre protagoniste.

Goutte de transpiration

En 1996, Brian De Palma transpose pour la première fois la série sur grand écran. Il reprend le concept de la scène de cambriolage acrobatique de Topkapi pour une séquence passée, elle aussi, à la postérité. Ethan Hunt-Tom Cruise, suspendu à des câbles, subtilise une liste d’agents infiltrés sur un ordinateur dans une pièce sécurisée au siège de la CIA, à Langley, en Virginie. De Palma élabore un suspense augmenté, où le détecteur de pression – impossible de toucher le sol sans déclencher l’alarme –, déjà présent chez Dassin, est complété par un thermomètre et un capteur de son. L’absence de musique permet, là aussi, d’intensifier la moindre péripétie, comme la goutte de transpiration coulant sur les lunettes du héros, ou le rat dans le conduit d’aération, qui vient perturber le complice assurant l’équilibre (Jean Reno).

“Topkapi”, avec Maximilian Schell, Gilles Segal (derrière, dans l’ombre) et Peter Ustinov.

“Topkapi”, avec Maximilian Schell, Gilles Segal (derrière, dans l’ombre) et Peter Ustinov.

United Artists

Si Topkapi rayonne de manière plus diffuse par la suite, il reste dans l’ADN d’une trilogie à succès des années 2000, signée Steven Soderbergh. Ocean’s Eleven (2001), le premier volet, est un remake assumé de L’Inconnu de Las Vegas (Lewis Milestone, 1960), qui mettait en scène le Rat Pack de Frank Sinatra. Pourtant, le recrutement d’un artiste de cirque parmi la troupe de cambrioleurs, ici emmenée par George Clooney, renvoie directement à l’acrobate de Topkapi, qui s’exprimait, lui aussi, avec les mouvements du corps.

Une étincelle, enfin, en 2011. Avec Protocole fantôme, le quatrième Mission : impossible au cinéma, Brad Bird signe l’un des meilleurs épisodes de la franchise. Quelques gadgets et une touche d’humour servent à revenir à la dynamique originelle de la série – seule la mission compte –, notamment lors d’une remarquable scène d’infiltration à Moscou. Clin d’œil de l’histoire : c’est précisément dans la capitale russe que les héros de Topkapi se rendaient durant le générique de fin.



TOUR DE PASSE-PASSE

 Et hop ! Les députés transforment la redevance en impôt invisible

Olivier Milot

Tant d’amateurisme et de désobligeance sont confondants. Après des heures de débats houleux, la disparition de la contribution à l’audiovisuel public (CAP, ex-redevance) a été adoptée par les députés en plein cœur de l’été, par moins d’un tiers de la représentation nationale alors en séance. Elle sera remplacée par une fraction de la TVA votée par le Parlement chaque année. Joli tour de passe-passe qui consiste à remplacer un impôt par un autre, le tout au nom du pouvoir d’achat et dans une joyeuse improvisation. On rembobine. Au départ, il y a la promesse de campagne du candidat Macron de supprimer la CAP pour alléger les impôts des Français. Problème… par quoi la remplacer ? Le budget de l’État, pardi. Simpliste et… irresponsable. Faire dépendre le financement des télévisions et radios publiques au bon vouloir de l’État, c’est remettre en cause leur indépendance et, en prime, risquer de se voir censurer par le Conseil constitutionnel. Tollé général et reculade désorganisée. Dans la pagaille, Aurore Bergé, présidente du groupe Renaissance à l’Assemblée nationale et fine connaisseuse de l’audiovisuel, sort de son chapeau la cartouche TVA, et la fait avaliser par son groupe et ses alliés sans vrai débat. Malin. À première vue, du moins. Un prélèvement sur la TVA isole les ressources allouées à l’audiovisuel public du budget de l’État. On conserve ainsi un système de taxe affectée, et avec lui des ressources garanties et le principe de l’indépendance des chaînes publiques. Sauf que continuer à présenter la suppression de la CAP comme une mesure de défense du pouvoir d’achat tout en la remplaçant par une fraction de la TVA relève de la démagogie. Non seulement les Français vont continuer à payer pour leurs télévisions et radios publiques, mais les quelque cinq millions de foyers modestes qui en étaient jusqu’ici exonérés vont désormais devoir mettre au pot. Supprimer un impôt visible pour le remplacer par un impôt invisible et plus injuste, c’est du grand art. Les Français et leur audiovisuel public méritaient mieux que ce mauvais numéro de prestidigitation.

lundi 25 juillet 2022

MAMAN

 Maman,

Tu es partie il y a 7 ans 

Sans faire de bruit

Un jour d'été 

à 90 ans



Me laissant dans l'ennui

Dans cette solitude.

De votre amour infini ,

À toi et à papa...

Mais si je vieillis sans toi 

Dans mon cœur

C'est pour toujours.

Merci de m'avoir aimée, élevée...

Maman 🌹chérie 


mes affectueuses pensées fleuries
tout au long de l'année 




Marie-Thérèse, Mythé de son nom de code, avait aussi une bicyclette bleue pour passer des messages, dans les poignées, dans la pompe à vélo ou dans ses bottes.



Ce samedi, a eu lieu l’inauguration officielle par monsieur le maire de Perros-Guirec Erven Leon d’une plaque commémorative au nom de ma mère, Marie-Thérèse Jolivet , Square des Résistants, devant le cimetière de La Clarté-Ploumanac’h, en présence de représentants des associations patriotiques et des amis Ploumanachains.

Madame Louis JOLIVET, 
née Marie-Thérèse Mudès,
Croix de Combattant Volontaire de la Résistance
Croix de Combattant 39-45
Croix de Combattant avec insigne Libération
Croix d’Argent du Djébel

Tout commence lorsque son père, le Commandant  Fernand Mudès, capitaine de la Marine marchande, était, selon la formule consacrée  à l’époque, « avec de Gaulle », car il avait rallié l’Angleterre et les Forces Françaises Libres en juin 1940 avec son navire « Le Phryné »,  puis reçu le commandement d’un des plus importants navires naviguant sous pavillon à Croix de Lorraine le S/S « Chateauroux » le 1er novembre 1940.

Rien n’échappant à la vigilance de la population d’un petit bourg breton : le jour même où la suppression de toute délégation de solde et de toute allocation de son père est notifiée à sa mère par une lettre du  gouvernement de Vichy, tout le groupe des résistants est au courant et s’indigne de voir ainsi sa mère absolument privée de ressources avec ses trois enfants pendant cinq ans. Douée d’une forte personnalité, volontaire et sûre d’elle, Marie-Thérèse allait avoir 18 ans lorsqu’elle est contactée en juin 42, par le groupe de Résistance formé à Bégard – et c’est ainsi qu’elle s’engagea.


Son engagement s’est imposé d’emblée et ce fut donc comme une évidence pour Marie-Thérèse de rejoindre ce groupe qui lui demandait d’accepter de participer à l’action et c’est avec enthousiasme qu’elle se lançait dans des missions de liaison entre différents maquis au sein du réseau du « Blavet » puis du maquis de Kerguiniou avec François Tassel , alias le commandant Gilbert, transportant des documents compromettants dans les poignées de sa bicyclette ou sa pompe à vélo, passant crânement à la barbe des Occupants, son intelligence n’ayant d’égale que son ingéniosité pour déjouer les pièges tendus, de Bégard à Paimpol en passant par Langouat, sillonnant toutes les routes du Trégor en évitant les barrages, si jeune mais si Française et bretonne à la fois.

Marie-Thérèse était devenue « Mythé » sur le terrain, La tête haute, le regard fier, elle passait les barrages munie de son précieux  Ausweiss obtenu auprès de la Croix-Rouge, pas suffisant pour échapper aux arrestations, certes, mais très utile, et il fallait faire attention car on était espionné par la Gestapo locale et l’insécurité était grande.
Une fois « Mythé » est arrêtée car elle porte ce jour-là des bottes alors qu’il fait beau : effectivement elle y planquait souvent des messages…mais cette fois-là elle revenait de mission et ses bottes avaient déjà livré leurs secrets !

Son patriotisme était plus fort que sa peur !

Sa compensée c’est l’amitié fraternelle de ses amis de la résistance du Trégor,  la réussite de missions difficiles, et enfin la déroute finale des occupants, 

Les mauvais souvenirs sont ceux d’arrestations de camarades, surtout celles de ses cousins Simone et Yvon Jézéquel arrêtés à Lézardrieux puis déportés et qu’elle ne reverra jamais. Le meilleur souvenir celui du retour de son père qui marquait aussi la fin de la guerre.

« Sans rancœur et sans rancune, même si on n’oublie jamais ».

Pourtant la maison familiale est occupée par un officier allemand et son ordonnance alors que la famille écoute en cachette à la cave et en sourdine les messages de la B.B.C. diffusés d’Angleterre, avec des phrases codées comme par exemple « le chapeau de Napoléon est-il toujours à sa place ? »  donnant le signal de l' insurrection générale en Bretagne.

Nom de code, appartenance à un réseau clandestin, une bicyclette bleue, autant d’images d’Epinal qui ont bercé mon enfance…et qui font aujourd’hui ma fierté de voir honorer son nom sur cette plaque commémorative en souvenir de sa participation héroïque à une belle page d’Histoire tournée par certains vrais patriotes dans la lutte contre les agresseurs allemands et la sauvegarde des libertés pour les générations suivantes, car, en prenant les plus grands risques, les Résistants ont contribué au triomphe d’un comb.at pour la sauvegarde des valeurs de la France.

Et, pour terminer, je citerai les mots du Général de Gaulle lors de son discours en hommage aux Bretons rappelant que  «  leur fidélité est  aussi solide que le granit armoricain » .


La fille de Marie-Thérèse Jolivet a pu rappeler le souvenir de sa mère.
La fille de Marie-Thérèse Jolivet a pu rappeler le souvenir de sa mère



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