25 AOÛT SAINT LOUIS

J'ai le souvenir de bien des 25 août fêtés  pour la saint LOUIS des hommes  de la famille

mon frère Louis Joël 

mon père Louis Joseph

Mon grand-père Louis Alexis

L'arrière grand-père Louis Moïse 


Bonne fête mes bien-aimés du Ciel 🥰😍😘

25 août 1270 : mort de Saint Louis (Tunis). 

Le roi de France, Louis IX, meurt de la dysenterie lors de la 8e croisade qui est la deuxième croisade à laquelle il participe. 

Canonisé le 11 août 1297, sa fête est le 25 août, jour anniversaire de sa mort. 

Il est l’un des saints patrons de la France et du diocèse aux armées.




Cest aussi un 25 août historique que je vous résume ci-dessous  :

25 août 1944  La Libération de Paris 



    Le vendredi 25 août 1944, à 15h 30, le général Philippe Leclerc de Hauteclocque (43 ans) reçoit à Paris, devant la gare Montparnasse, la capitulation des troupes d'occupation de la capitale.  Le document est signé par le général Dietrich von Choltitz, commandant du 84e corps d'armée. Il est aussi représenté par le colonel Henri Rol-Tanguy, chef régional des FTP-FFI (Francs-tireurs et partisans des Forces Françaises de l'Intérieur).  



De Gaulle, Leclerc et Chaban-Delmas (de dos) à la gare Montparnasse, le 25 août 1944


Une heure plus tard, le général Charles de Gaulle lui-même arrive à la gare et se voit remettre par Leclerc l'acte de capitulation.  Il se rend ensuite à l'Hôtel de Ville où il est reçu par Georges Bidault, président du Conseil national de la Résistance. Comme celui-ci lui demande de proclamer le rétablissement de la République, de Gaulle rétorque qu'elle n'a jamais cessé d'exister.  Sur le perron, devant une foule enthousiaste et joyeuse, sous un beau soleil estival, il célèbre en des termes flamboyants la Libération de Paris : «Paris martyrisé ! mais Paris libéré !...». Son discours improvisé est aussitôt retransmis à la radio.  Le soir, de Gaulle s'installe au ministère de la Guerre en qualité de chef du gouvernement provisoire de la République française et le lendemain, le chef de la France libre descend en triomphe les Champs-Élysées, suivi de Leclerc et de ses fidèles de la première heure auxquels il a recommandé de se tenir derrière lui.  Dans une joyeuse pagaille, acclamé par deux millions de Parisiens, il arrive à la Concorde. Là éclatent des coups de feu sporadiques. Puis le général gagne Notre-Dame pour un Te Deum passionné.   S'insurger ou attendre ?  La Libération de Paris a débuté le 10 août 1944 avec la grève des cheminots, tandis que les troupes allemandes commençaient de plier bagage.  Le général Pierre Koenig, chef d'état-major des Forces Françaises de l'Intérieur, souhaite qu'un soulèvement populaire précède l'arrivée des troupes alliées dans la capitale mais il est conscient des risques qu'il représente.  En effet, quelques jours plus tôt, le 1er août, les résistants de Varsovie ayant fait le même choix ont subi une répression d'une extrême violence. D'autre part, le risque existe d'un affrontement entre les gaullistes pilotés par Jacques Chaban-Delmas et les communistes sous les ordres du colonel Rol-Tanguy.  Le 19 août, des combats sporadiques éclatent un peu partout. 3.000 policiers de Paris rejoignent la Préfecture de police de l'île de la Cité, au coeur de la capitale, en tenue civile et avec leur arme de service et le drapeau tricolore est hissé au sommet de l'édifice. Mais les Alliés n'étant pas attendus dans la capitale avant le 1er septembre, les gaullistes jugent l'insurrection prématurée. Ils le font savoir à Rol-Tanguy par le biais d'une note transmise par l'intermédiaire de Jacques Chaban-Delmas (29 ans), délégué militaire national.  Au terme d'une violente discussion, les représentants du Comité national de la Résistance conviennent de négocier une trêve avec l'occupant. Dans les faits, elle ne sera appliquée que de façon sporadique puis plus du tout.   Lourd bilan  Entre le 10 août et l'entrée des troupes du général Leclerc le 25 août suivant, la Libération de la capitale aura causé la mort de 76 soldats de la 2e division blindée ainsi que de 901 résistants des FFI et de 3.200 Allemands (12.800 soldats allemands sont aussi faits prisonniers).  Parmi les drames les plus désolants, gardons en mémoire le souvenir de 35 garçons et filles qui avaient maladroitement confié à un agent double leur désir de combattre. Dans la nuit du 16 au 17 août, ils sont livrés par celui-ci à la Gestapo (police allemande) qui les fusille sans délai près de la cascade du bois de Boulogne.





Ce même 25 août 1944 : massacre de Maillé (Indre-et-Loire).





Dans la matinée, un groupe de SS pénètre dans le bourg de Maillé. À la grande surprise des habitants du village habitués à côtoyer les troupes d'occupation, les soldats commencent à entrer dans les maisons et à tirer sur toutes les personnes qu'ils croisent. Les maisons du bourg sont systématiquement incendiées.

124 personnes sont massacrées dont 48 enfants et 42 femmes.

Vers 12h30, les Allemands se retirent, laissant une pièce d'artillerie positionnée sur une colline voisine, détruire le reste de Maillé.

Oublié pendant plus de 60 ans, ce drame sort peu à peu de l'ombre depuis l'ouverture d'une Maison du Souvenir dans la commune.



Un autre 25 août historique



25 août 1915 : les allemands prennent Brest-Litovsk.



Après avoir reçu des renforts considérables des 8e, 10e et 12e armées, les troupes allemandes s'emparent de la ville. Toute la Pologne est dès lors occupée par les Empires centraux.

Les Russes sont rejetés sur la rive droite de la Vistule. Au total, certaines unités ont reculé de plus de 500 km depuis le début de la guerre.

Par la suite, le tsar Nicolas II limoge le général Nicolas Nikolaïevitch et prend le contrôle direct des armées afin d'éviter de nouvelles conséquences désastreuses pour l'Empire russe.










   

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