samedi 10 août 2019

IL Y A 75 ANS




Saint-Michel-en-grève

Le débarquement allié reconstitué

Pour marquer le 75 ème anniversaire du débarquement allié de 1944, Saint-Michel en grève prépare une reconstitution historique.





Une photo prise lors du débarquement en août 1944 (photo DR). Rémy Dissez préside l'association qui organise l'événement commémoratif.
Une photo prise lors du débarquement en août 1944 (photo DR). Rémy Dissez préside l’association qui organise l’événement commémoratif. (©Le Trégor)

Le 11 août 1944, les Alliés débarquaient sur la Lieue de grève. 75 ans plus tard, deux jours de festivités commémoreront l’opération Author 2 l’été prochain à Saint-Michel-en-grève.
La commémoration du 75 ème anniversaire du débarquement allié sur la Lieue de grève à Saint-Michel se met en place. L’association éphémère qui chapeaute l’événement regroupe les représentants des neuf communes impliquées pour les 10 et 11 août 2019.

Mémoire collective

Pour le président, Rémy Dissez  : 
Saint-Michel et l’association de mémoire locale souhaitaient marquer cet événement important et nous faisions tous les 5 ans une exposition sur les faits : c’est important aujourd’hui de nous regrouper dans ce travail de mémoire collective avec la paix en perspective », 
Beaucoup de réunions avec les communes, y compris en sous-préfecture auprès de Christine Royer, sept conseils d’administration se sont succédé depuis plus d’un an.

La petite-fille de Patton

La Marine de Brest, les ambassades, les associations d’anciens combattants et des déportés, les clubs de parachutisme et le club de modélisme ont également été sollicités, notamment pour la sécurité des spectateurs.
 La présence de personnalités est prévue », 
La petite-fille du général Patton a d’ores et déjà confirmé sa présence.
Une semaine avant les festivités, débuteront les préparatifs avec le 3 août l’ouverture de l’exposition « Mémoire locale ». 
Notre but n’est pas un travail d’historien mais de traduire ce qu’ont vécu les gens d’ici par des témoignages »

Le programme

Le 9 août  : installation des équipages avec les véhicules militaires.
Le début de la commémoration aura lieu le samedi 10 août à 10 h devant la stèle sur la plage. À 11 h, ouverture au public : camp militaire, expositions de documents concernant la Seconde Guerre mondiale par les associations, exposition de voitures anciennes, salon du livre, etc..
L’après-midi, différents concerts avec des groupes spécialistes de la musique et danses américaines de cette époque. Bataille aérienne d’avions télécommandés. Sauts en parachute. Feu d’artifice.
Le dimanche 11 août à 11 h, ouverture au public. À 15 h, débarquement sur la plage. 19 h, clôture des festivités. Bal populaire le soir.
Une photo prise lors du débarquement en août 1944 (photo DR). Rémy Dissez préside l’association qui organise l’événement commémoratif.



dimanche 21 juillet 2019

IL Y A 50 ANS




ACTUALITÉ

Par mégarde, la Nasa a vendu ses vidéos originales des premiers pas d’Armstrong sur la Lune


Alors que le 21 juillet prochain seront célébrés les 50 ans du premier pas de l’homme sur la Lune, les médias américains révèlent une histoire incroyable. Dans les années 1970, la Nasa aurait accidentellement vendu ses vidéos originales de la célèbre mission Apollo 11 et de l’atterrissage sur la Lune. Le comble, c’est qu’elles sont aujourd’hui remises aux enchères. Et devinez qui s’en porte acquéreur ?

« C’est un petit pas pour l’homme, mais un grand pas pour l’humanité. » Cette formule célèbre est signée Neil Armstrong. Ce sont les premiers mots que l’astronaute américain a prononcés en devenant le premier homme à poser le pied sur la Lune. C’était le 21 juillet 1969.

L’astronaute américain Neil Armstrong, premier homme à avoir marché sur la Lune. (Photo : Nasa)

Alors que le 21 juillet prochain seront célébrés les 50 ans de cet événement historique, les médias américains révèlent une histoire surréaliste. Alors que les thèses conspirationnistes les plus farfelues remettent régulièrement en cause le fait qu’un homme ait marché sur la Lune, on apprend que des vidéos de la mission Apollo 11 et de l’atterrissage ont été tournées à l’époque.
L’instant historique a donc été filmé par la Nasa. Seulement voilà : en 1976, la Nasa décide d’organiser une vente aux enchères sur sa base de Houston (États-Unis). L’agence spatiale américaine veut se séparer de vieux objets sur lesquels des passionnés se ruent. Parmi ces souvenirs et vieilles reliques, se retrouvent accidentellement mis en vente les précieux enregistrements de l’atterrissage sur la Lune.
Aussi incroyable que cela puisse paraître personne ne s’est immédiatement rendu compte de la bévue. Et lorsqu’enfin, on s’en est aperçu, il était trop tard. Le deal avait été fait. Houston, on a un problème…
Un ancien stagiaire de la Nasa
La Nasa se met alors en quête de l’acheteur de ces précieux enregistrements. Il est identifié. Il s’agit d’un dénommé Gary George. L’homme n’est pas vraiment le parfait inconnu auquel la Nasa pensait avoir à faire. Il s’avère qu’il s’agit d’un ex-stagiaire de l’agence. Il avait flairé la bonne affaire en achetant 1 000 bobines comprenant donc l’atterrissage de la désormais célèbre Apollo 11 et la sortie de Neil Armstrong. Et ce, pour la modique somme de 217 dollars, soit seulement 190 € pour ce trésor immortalisant un des plus grands événements de l’histoire de l’humanité.

(Photo : Nasa)

En 2008, la Nasa a tenté une nouvelle approche de son ancien stagiaire pour tenter de le convaincre de lui revendre les bandes. Ils ne se sont pas mis d’accord. Depuis, Gary George a eu le regret de constater que certaines bandes n’avaient malheureusement pas résisté à l’usure du temps. Il n’en reste plus que trois de bonne qualité. Par chance, il s’agirait des plus précieuses : celles de l’atterrissage.
Depuis, il a fait numériser ces images d’archives. Et il chercherait à revendre les vidéos originales.
L’ironie du sort, c’est que leur mise aux enchères est programmée le 21 juillet prochain. Le jour où l’on célébrera, jour pour jour, les 50 ans du premier pas de l’homme sur la Lune. Sauf qu’en un demi-siècle, ces vidéos ont pris de la valeur. Les enchères démarreront à 700 000 dollars, soit 620 000 €. On est donc loin des 200 dollars de l’époque. Et devinez qui veut se porter acquéreur ? C’est un comble, mais c’est la Nasa, évidemment. Et le 21 juillet 2019, Gary George, l’ancien stagiaire de l’agence spatiale, espère, à son tour, décrocher la Lune…

jeudi 27 juin 2019

plan anti canicule en Bretagne



Le pic de chaleur amuse le dessinateur Bibeur Lu : canicule n’est pas breton.. (©Bibeur Lu )
On n’a pas très chaud, il fait même un peu frais dans le Trégor-Goëlo ce jeudi 27 juin. Au marché de Lannion, dans les rues de Paimpol comme au centre de Guingamp, la canicule est un phénomène étranger qui fait doucement rire. « On voudrait même quelques degrés de plus », s’amuse même cette maman accompagnée de ses petites filles devant les étals du marché de Lannion. « Nous revenons de la plage de Trestraou à Perros-Guirec et il faisait même froid. » 

L’emballement autour de la canicule ne se limite pas aux médias.  médiatique Sur les réseaux sociaux comme dans de nombreux échanges, cette situation ne manque pas de susciter des commentaires humoristiques, entre ceux qui moquent la fraîcheur bretonne et les autres qui, au contraire, en terre Armoricaine, s’en félicitent et n’envient pas les chaleurs suffocantes. Sans compter la pollution à l’ozone.
Et d’autres en ont même fait une chanson, à l’image du Youtuber Seby qui s’était déjà fait remarquer avec une vidéo sur les gilets jaunes. 
Mais la situation devrait quelque peu se rééquilibrer cet après-midi entre le nord et le sud de la Bretagne où l’on annonce pas moins de 33 degrés à Quimper. Contre 25 à Lannion où il fait tout 18° en fin de matinée

samedi 22 juin 2019

ÎLE AUX MOINES



Perros-Guirec.

Une passerelle installée à l’Île aux moines

L'Île aux moines face à Perros-Guirec devrait, à nouveau, être accessible à la fin juin. Une passerelle, réalisée en filet, est en cours d'installation.


La passerelle est en cours d'installation.
La passerelle est en cours d’installation. (©Le Trégor)

L’Île aux moines, dans l’archipel des Sept-îles face à Perros-Guirec, devrait, à nouveau, être accessible à la fin fin. Une passerelle, réalisée en filet, est en cours d’installation. Une première en France.
Depuis le mois de décembre, l’accès à l’Île aux moines est interdit. Une portion de la route permettant d’accéder à l’île s’est effondrée suite à des infiltrations d’eau. En urgence, leConservatoire du littoral, propriétaire de l’île, la Direction départementale des territoires et de la mer (DDTM) et la Ville ont dû plancher sur une solution provisoire afin d’assurer l’accès cet été à la seule île de l’archipel ouverte au public. Elle a été trouvée.

« Un projet très innovant »

Stéphane Riallin, chargé de mission au Conservatoire du littoral explique : 
Il fallait une solution souple, légère et écologiquement responsable. On est sur une réserve naturelle, un joyau d’écologie. »
Le choix s’est porté sur une passerelle, en filet, réalisée avec des bouts de pêche : 
Le même matériau utilisé pour les filets de langoustine ».

Un ouvrage de 60 mètres

L’ouvrage, qui reliera l’extrémité de la cale à la plateforme de Cosmoguer, mesure 60 m. Il a entièrement été tressé à la main à Groix. Des pieux en bois permettront de rigidifier la structure, accessible aux personnes à mobilité réduite, pour « éviter le phénomène pont de singe ».
C’est un projet très innovant C’est une première en France. » 

Fin juin

Les travaux, pilotés par la société Chien noir, ont débuté la semaine dernière sur l’île. L’installation de la passerelle a démarré cette semaine. L’accès à l’île sera rétabli à la fin juin.
Entre les démarches administratives et l’ingénierie technique, le chantier a démarré avec mois de retard sur le calendrier initial. 
On avait énormément de contraintes mais l’important est que tout se passe bien. »
L’opération se chiffre aux alentours de 150 000 €, portée par le Conservatoire du littoral, LTC et la Ville. Assurant le transport maritime, Armor navigation apporte également sa contribution.

Des travaux de reconstruction

Stéphane Rialland assure : 
La passerelle est complètement réversible, on ne verra plus de trace une fois que tout sera démonté »
Car il s’agit d’une solution provisoire. Pour 2019 et vraisemblablement l’année prochaine encore. 
Pendant ce temps-là, on avance sereinement sur l’ouvrage définitif. » 
Des travaux de reconstruction de la cale et de ses accès doivent être menés. Un chantier d’envergure, de 2 à 3 M€. Les études sont en cours.
La passerelle est en cours d’installation.

vendredi 21 juin 2019

...-

LE SAVIEZ-VOUS ?


 V pour victoire, en Morse : 3 longues, une brève



La radio de Londres, ce n'est pas seulement l'information sur la guerre. Quand les quatre notes de la Cinquième de Beethoven annoncent la BBCta-ta-ta-taaa, ...




mardi 11 juin 2019


ACTUALITÉ

Avec 350 enfants, Pegasus Bridge est devenu le Pont pour la paix entre les peuples


Ce jeudi 6 juin 2019, le Pegasus Bridge à Bénouville, dans le Calvados, s’est mué en « Pont pour la paix entre les peuples ». Un symbole puissant pour cette cérémonie, qui a réuni un vétéran anglais et 350 enfants des écoles environnantes, à l’occasion du 75e anniversaire du Débarquement en Normandie.



Dans le ciel de Bénouville (Calvados), l’envol de 75 colombes a remplacé les planeurs des hommes du major Howard. Dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, ils avaient réussi l’exploit de prendre le pont de Bénouville aux Allemands sans le détruire.
Soixante-quinze ans plus tard, le vétéran Reg Charles, un des héros de cette illustre mission, foule ce même Pegasus Bridge, le fragile oiseau de la paix entre les mains, entouré de 350 enfants chantant L’Hymne à l’espoir
Une image puissante, qui bouleverse la foule, soudain devenue plus silencieuse. « C’est très émouvant, merci les enfants », souffle l’ancien combattant de l’Oxfordshire and Buckinghamshire Light Infantry.
Un parchemin pour la paix de 44 mètres de long
Ce jeudi 6 juin, c’est moins la mission héroïque des vétérans anglais que la paix retrouvée entre les peuples qui est célébrée. « Afin que se perpétuent les valeurs de paix et de liberté transmises par les vétérans, le site de combat a laissé la place à une terre pacifiée », récite un enfant au micro. Et ça, les écoliers l’ont bien compris.
Partis de chaque côté du pont, ils se sont retrouvés en son milieu pour assembler un gigantesque parchemin de 44 mètres de long, « comme l’année de la Libération, explique la petite Camille. Il y a des puzzles qui représentent les peuples. Parfois les pièces ne vont pas tout à fait ensemble, mais elles restent côte à côte. Ça symbolise la paix sur la Terre. Et il y a aussi le poème Liberté, de Paul Éluard, qu’on a appris à l’école. »

Les enfants ont chanté « L’Hymne à l’espoir » avec le ténor José Todaro, sur le Pegasus Bridge. (Photo : Ouest-France)

« L’avenir est entre vos mains »
Le vétéran Reg Charles se prête volontiers au jeu des photos avec la jeunesse, tapotant la joue d’un petit garçon qui secoue son Union Jack miniature. « L’avenir est entre vos mains », leur glisse-t-il. Les écoliers le regardent avec de grands sourires, sans oser trop approcher « ce monsieur impressionnant » de 96 ans.
« C’est pas tous les jours qu’on voit ça ! s’exclame Anaïs, élève de CM2. À l’école on nous a expliqué ce qui s’était passé pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais rencontrer des vrais gens qui y ont participé, ce n’est pas du tout la même chose... »
L’un de ses camarades poursuit : « Moi, j’ai aussi appris pourquoi l’Europe avait été créée, pour qu’on ne se fasse plus la guerre. Ce serait bien que ça ne recommence jamais, alors il faut rester amis. Même si c’est compliqué de comprendre ce qu’on n’a pas vécu. »
Quand les répliques des planeurs du major Howard survolent le pont. L’enfant écarquille les yeux : « Mais ils sont grands ! Ils ont vraiment atterri ici ? » Il se retourne vers Reg Charles et chuchote à un parent d’élève : « Ça se dit comment, « bravo », en anglais ? »

Les écoliers ont pu prendre des photos et dire « Thank you » à Reg Charles, vétéran anglais. (Photo : Ouest-France)

Salvatore Bellomo, maire de Bénouville, a eu l’idée de cette cérémonie originale. Il tenait à l’idée de ce pont pour la paix entre les peuples. « Dans ce monde en pleine contestation, confrontation, remise en question, la démocratie, les valeurs humaines, la dignité des hommes sont en danger, dit-il. Nous avons aujourd’hui, pour demain, pour l’avenir de nos enfants, le devoir de nous élever et de refuser toute forme de barbarie, toute idéologie dangereuse pour défendre le bien le plus sacré : la paix, la liberté et la fraternité. »
Désormais, sous le pont, coule la paix. Ni immuable ni définitive, toujours à défendre.

lundi 10 juin 2019

IL Y A 75 ANS

10 JUIN 1944






Ce lundi le petit village d'Oradour-sur-Glane en Haute-Vienne commémore le 75e anniversaire du massacre perpétré par les nazis de la Panzerdivision SS "Das Reich".
Le rituel est resté le même qu'au lendemain de la guerre : la cérémonie débute à 14h, avec une messe célébrée dans l'église du nouvel Oradour. Puis à 16h, marche silencieuse et dépôt de gerbes de fleurs dans les différents lieux du massacre.
Le 10 juin 1944, en début d'après midi, les troupes allemandes pénètrent dans cette petite bourgade. Sous prétexte d'un contrôle d'identité, elles réunissent tous les habitants sur la place du village. Les femmes et les enfants sont conduits dans l'Eglise. Les soldats y déposent alors des explosifs, puis mitraillent l'édifice religieux avant de l'incendier. Les hommes, eux, sont enfermés dans les granges du village avant d'être mitraillés par les soldats allemands.
Au total, 642 personnes ont perdu la vie en cette journée funeste, dont plus de 400 femmes et enfants. C'est le plus grand massacre de civils perpétré par les soldats allemands sur le sol français.

vendredi 7 juin 2019

IL Y A 75 ANS


6 juin 1944. Plus de 156 000 hommes débarquent sur les plages du Calvados et de la Manche. Voici, 75 ans après, dix images exceptionnelles de ce Jour J.






Au matin du 6 juin 1944, plus de 156 000 hommes débarquent sur les plages du Calvados et de la Manche. Au soir du Jour J, ils ont établi une fragile tête de pont sur la côte. Il faudra encore plus d’un mois pour libérer les principales villes de la région. (Infographie : Ouest-France)

L’aube est grise, le ciel chargé. La Manche secoue et gronde. Ce 6 juin 1944, la plus grande armada jamais réunie sur mer et dans les airs – précédée d’intenses bombardements et d’actions clandestines des résistants – se jette sur les côtes normandes, de l’estuaire de l’Orne, dans le Calvados, aux plages de Quinéville dans la Manche.
Les Alliés s’attaquent à la forteresse érigée par Hitler, ce Mur de l’Atlantique derrière lequel l’Europe est retenue prisonnière depuis plus de quatre années. En Normandie, on tremble d’angoisse et d’espérance mêlées.
Ce 6 juin et les près de 100 jours qui suivent, des centaines de milliers de soldats venus de tous les pays alliés livrent des combats terribles et décisifs. Le Débarquement et la Bataille de Normandie ouvrent la porte à la libération de la France et de l’Europe, laissant entrevoir l’espoir de la fin de la guerre. Et quelques années plus tard, à la réconciliation des ennemis d’hier. C’est ce 6 juin et les quelque 100 jours suivants que racontent ces dix photos, qui ont été colorisées.
Elles sont extraites du hors-série d’Ouest-France intitulé 100 photos du Jour J (7,90 €, disponible chez les marchands de journaux et via notre boutique en ligne).

Île de Portland, début juin 1944





Sur le port de Castletown, la 1re division d’infanterie américaine embarque son matériel. Ces militaires de la Big Red One seront en première ligne, à Omaha Beach, au matin du 6 juin. (Photo : archives Ouest-France, Nara / colorisation Éditions O.-F. / Graph&ti / US National)

Angleterre, 5 juin





À 22 h 15, les hommes de la 101e Airborne embarquent à bord de 1 500 avions C-47 Dakota. Au matin du 6 juin, plus de 23 000 Américains, Anglais et Canadiens sautent sur la Normandie, en parachute ou à bord de planeurs. (Photo : archives Ouest-France, Nara / colorisation Éditions O.-F. / Graph&ti / US National)

Colleville-sur-Mer, 6 juin





Vers 7 h 45, les soldats américains de la 1re division Big Red One arrivent à Omaha Beach. Au matin du Jour J, plus de 156 000 hommes participent à cette opération militaire. La plus importante de tous les temps. (Photo : archives Ouest-France, Nara / colorisation Éditions O.-F. / Graph&ti / US National)

Colleville-sur-Mer, 6 juin





Première vague d’assaut, à Omaha Beach, le 6 juin 1944. (Photo : archives Ouest-France, Nara / colorisation Éditions O.-F. / Graph&ti / US National)

Pointe du Hoc, 6 juin





Le colonel Rudder vient d’établir son poste de commandement. Ses 225 Rangers devaient gravir la falaise pour détruire les batteries. Arrivés sur place, après de terribles combats, ils découvrent qu’il n’y a pas de canon. (Photo : archives Ouest-France, Nara / colorisation Éditions O.-F. / Graph&ti / US National)

Colleville-sur-Mer, 6 juin





« Omaha la sanglante » est la zone la plus meurtrière. « Il n’y a que deux sortes de gens sur cette plage : ceux qui sont morts et ceux qui vont mourir. Maintenant, fichons le camp d’ici ! », lance le colonel Taylor aux hommes du 16e régiment d’infanterie. (Photo : archives Ouest-France, Nara / colorisation Éditions O.-F. / Graph&ti / US National)

Omaha Beach, 6 juin





Après le massacre des premières heures et la perte de 1 800 hommes, la plage devient la tête de pont de l’armée américaine. La 2e division Indian Head monte au sommet des falaises de la vallée du Ruquet, à Saint-Laurent-sur-Mer. (Photo : archives Ouest-France, Nara / colorisation Éditions O.-F. / Graph&ti / US National)

La Haye-du-Puits, 8 juillet





Début juillet, la Bataille des haies fait rage dans le Nord-Cotentin. Les Américains doivent progresser à l’ouest de Saint-Lô, dans une zone de bocage dont les troupes allemandes savent profiter. (Photo : archives Ouest-France, Nara / colorisation Éditions O.-F. / Graph&ti / US National)

Environs de Saint-Lô, du 3 au 14 juillet





La préfecture de la Manche est un objectif primordial pour les Américains. Le combat va s’embourber dans le bocage. La 9e division d’infanterie est engagée dans cette bataille pour libérer la ville. (Photo : archives Ouest-France, Nara / colorisation Éditions O.-F. / Graph&ti / US National)

Saint-Lô, fin juillet





Les bombardements ont commencé dès le 7 juin. La préfecture de la Manche ne sera libérée que le 20 juillet. La ville, détruite à 95 %, sera surnommée la « capitale des ruines ». (Photo : archives Ouest-France, Nara / colorisation Éditions O.-F. / Graph&ti / US National)

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