L'année 2014 marquera le 70e anniversaire de la Libération de la France.
De nombreuses commémorations sont prévues avec pour point d'orgue une cérémonie officielle réunissant de nombreux chefs d'Etat le 6 juin prochain sur les plages de Normandie, un défilé militaire, ainsi qu'une parade navale et aérienne.
Au-delà de ces célébrations officielles, reste le devoir de mémoire pour les hommes, les femmes et les enfants ayant contribué, souvent au péril de leur vie, à ce combat pour la Liberté.
De nombreuses commémorations sont prévues avec pour point d'orgue une cérémonie officielle réunissant de nombreux chefs d'Etat le 6 juin prochain sur les plages de Normandie, un défilé militaire, ainsi qu'une parade navale et aérienne.
Au-delà de ces célébrations officielles, reste le devoir de mémoire pour les hommes, les femmes et les enfants ayant contribué, souvent au péril de leur vie, à ce combat pour la Liberté.
L'image a, de très loin, anticipé l'écriture. Avant même que naissent les plus anciennes civilisations, des hommes, à
Lascaux et ailleurs, se sont appliqués à perpétuer les spectacles qu'ils avaient sous les yeux. Ainsi ont-ils pérennisé
leur souvenir.
Les événements de 1944 ont suscité d'innombrables témoignages écrits. Ceux qui en furent les contemporains s'y reportent volontiers. De moins en moins concernées et de plus en plus portées vers l'image, les générations qui ont suivi n'éprouvent pas toujours les mêmes motivations. Exposer les photographies les plus frappantes du temps qui a restauré la liberté s'est révélé une nécessité.
Pour que leur pays soit libéré du joug de l'occupant, des hommes ont souffert, ont combattu, sont morts. Des photographes ont souvent risqué leur vie pour proposer à la postérité le témoignage incontestable de ce qui fut. En enregistrant l'héroïsme ou la douleur, ils nous procurent l'essentiel de ce que nous ne devons pas oublier.
Cela porte un nom : le devoir de mémoire.
Les événements de 1944 ont suscité d'innombrables témoignages écrits. Ceux qui en furent les contemporains s'y reportent volontiers. De moins en moins concernées et de plus en plus portées vers l'image, les générations qui ont suivi n'éprouvent pas toujours les mêmes motivations. Exposer les photographies les plus frappantes du temps qui a restauré la liberté s'est révélé une nécessité.
Pour que leur pays soit libéré du joug de l'occupant, des hommes ont souffert, ont combattu, sont morts. Des photographes ont souvent risqué leur vie pour proposer à la postérité le témoignage incontestable de ce qui fut. En enregistrant l'héroïsme ou la douleur, ils nous procurent l'essentiel de ce que nous ne devons pas oublier.
Cela porte un nom : le devoir de mémoire.