Voici quelques extraits de ce Populicide, qui se présente comme un ultime cri d’alerte avant la disparition annoncée du peuple français...
samedi 11 octobre 2025
MON COVID LONG
Ça y est, je suis comptabilisée " covid long " à l'ARS
L'association covid long solidarite a repondu à ces commentaires : Le Covid a démarré en 2020 (voire fin 2019). Les personnes infectées dès début 2020 n'ont jamais guéri, d'autres symptômes et maladies se sont développer à la suite, et elles n'étaient pas vaccinées.
Les vaccins n'étaient pas encore disponibles à ce moment-là, ils sont apparus en 2021. Faites les comptes : on ne peut donc pas mettre les malades post-infection sur le compte du post-injection.
Pourquoi rejeter en bloc et minimiser la souffrance des malades du Covid long ? Ils ont suffisamment souffert... Enfants comme adultes : difficultés à respirer, douleurs multiples qui ne cèdent pas aux antidouleurs, myocardites, péricardites (qui deviennent parfois chroniques), embolies pulmonaires, insuffisance surrénalienne, troubles moteurs, cognitifs, réactions allergiques, troubles digestifs, ORL... et bien d'autres encore.
Cette maladie, provoquée par le virus SARS-CoV-2 et dont vous vous moquez, est pourtant bel et bien réelle. Elle repose sur une cause biologique et n'en rend pas moins les gens malades.
Les malades du Covid long ont connu le rejet du corps médical, la psychologisation, l'incompréhension familiale, et la perte d'emploi. La situation a été très compliquée pour ces personnes. Et pourtant, malgré cela, à partir de ces difficiles expériences, elles ont transformé leur souffrance en entraide, apportant leur soutien à ceux qui sont arrivés après (post-infectieux et post-vaccinal).
Il y a également des personnes qui souffrent en post-vaccinal, on le sait ; toutefois, ce n'est pas le sujet ici, et il ne faut pas écraser une cause pour donner plus d'importance à une autre.
Aujourd'hui, le virus circule toujours, et des personnes continuent d'être infectées, puis développent toujours un Covid long et/ou des dommages organiques. On ne peut pas s'arrêter de respirer pour ne pas attraper le virus ; le vaccin, quant à lui, n'est plus obligatoire.
Le Covid long ne doit pas être remis en cause uniquement parce que "nous sommes mal informés" ou parce que "nous n'y croyons pas". Notre démarche vise à alerter pour que la société n'ait pas à se demander plus tard : "Pourquoi n'avons-nous pas agi alors que nous savions ?"
Que ces faits apportent la clarté nécessaire à certains commentaires.
vendredi 10 octobre 2025
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| 23h BISCORNU |
« Toujours la même pièce »
Macron s’entête.
Il change le décor, repeint la scène, ajuste la lumière…
Mais sur les planches, ce sont toujours les mêmes acteurs.
Certains ont oublié leur texte, d’autres s’accrochent à leur rôle comme à une rente.
Et le metteur en scène continue de crier “Action !”, persuadé que le public n’y verra que du feu.
À chaque remaniement, on nous promet un nouveau souffle.
Mais ce n’est plus du théâtre : c’est un vaudeville joué à huis clos, sans rires, sans applaudissements, et sans sortie de secours.
Le plus drôle, c’est qu’après la démission express du “gouvernement Lecornu”, l’Élysée avait fait savoir que le Président “prendrait ses responsabilités”.
Il l’a fait : il a pris ses responsabilités.
Et les a rangées, soigneusement, à côté des promesses oubliées.
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jeudi 9 octobre 2025
JERRY
La tempête tropicale forte Jerry approche : premières averses attendues dès jeudi matin en Martinique.
La tempête tropicale forte Jerry progresse actuellement dans l'Atlantique • ©Meteo-FranceLa tempête tropicale forte Jerry, située à environ 700 km à l'est de la Martinique, se renforce progressivement et devrait atteindre le stade d'ouragan de catégorie 1 vendredi. Sans menacer directement l'île, elle provoquera dès jeudi 9 octobre une dégradation du temps, marquée par des averses soutenues et orageuses, notamment dans la nuit de jeudi à vendredi.
La Martinique se prépare à une nouvelle dégradation des conditions météorologiques en lien avec la progression de la tempête tropicale forte Jerry sur le bassin atlantique. La Martinique est placée en vigilance jaune pour fortes pluies et orages et vagues-submersion.
Jerry continue de se renforcer
D'après le National Hurricane Center (NHC), Jerry se situe à environ 700 km à l'est de la Martinique. Le système se déplace vers l'ouest-nord-ouest à 37 km/h, générant des vents moyens de 95 km/h et des rafales atteignant 110 km/h. Les conditions environnementales restent favorables à son intensification : Jerry devrait devenir un ouragan de catégorie 1 dès vendredi, avant de remonter vers le nord et de s'éloigner progressivement de l'arc antillais.
Le passage le plus proche du système est prévu jeudi après-midi au large de la Guadeloupe, puis dans la nuit de jeudi à vendredi à proximité des Îles du Nord.
Une dégradation progressive du temps en Martinique
Cette nuit, seules quelques averses éparses traverseront l'île. Mais dès jeudi matin, les premières bandes pluvieuses liées à la tempête, qui s'étendent loin du centre du système, aborderont la Martinique.
Au fil des heures, les averses se multiplieront. Dans l'après-midi, elles deviendront modérées à fortes, parfois orageuses, accompagnées de rafales de vent ponctuelles. Ces précipitations devraient s'intensifier dans la nuit de jeudi à vendredi, avec des épisodes pluvieux plus fréquents et plus marqués.
Tout au long de la journée et de la nuit, des phases d'accalmie alterneront avec des passages pluvieux intenses.
Pas d'impacts majeurs attendus, mais prudence conseillée
Même si Jerry restera à distance, ses effets indirects — averses soutenues, orages et vent irrégulier — seront perceptibles sur l'île. La prudence est donc recommandée, notamment dans les zones sujettes aux ruissellements rapides et aux glissements de terrain.
Autre zone sous surveillance
En parallèle, le NHC continue de suivre une zone de basses pressions près du Yucatán, présentant un risque très faible d'évolution cyclonique. Ce système ne devrait pas influencer les conditions dans la Caraïbe.
Barbara 
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