« En Martinique, le problème véritable, c’est celui des bas salaires »

Par Dan Israel

Gabriel Jean-Marie, secrétaire général de la CGT Martinique, revient sur le mouvement contre la vie chère qui agite l’île depuis le 1er septembre. Il insiste sur la responsabilité des grands groupes de distribution aux mains des békés, reproduisant un modèle colonial qu’il qualifie de « racket ».

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Nouvelle flambée de violences en Martinique sur fond de révolte contre la vie chère Par Matthieu Suc Les nuits se suivent et se ressemblent dans l’île antillaise en proie à des pillages, des incendies et des violences. Il y a eu au moins trois morts en marge des manifestations organisées contre le coût de la vie. Et Bruno Retailleau jette encore de l’huile sur le feu. Lire la suite

 La violence est-elle "seulement" une réponse à la présence des CRS ?

Si oui, il y a peut-être un premier niveau de solution à tenter, qui serait un signal "positif" pour la reprise des négociations :

➡️Faire repartir les CRS contre l'engagement du RPPRAC de la fin de la violence.

- S'il y arrive les négociations peuvent reprendre dans un contexte "un peu plus" apaisé et tout le monde en sort grandi.

- S'il n'y arrive pas, cela montrera bien à nos élus comme au RPPRAC que personne n'a le contrôle sur ces gangs violents et qu'il faut intervenir pour ne pas suivre les traces haïtiennes !

 

7 OCTOBRE

 

Pour ce faire, nous avons dépêché sur place notre grand reporter Nadjet Cherigui

C'était il y a un an – ou presque. Le 7 octobre 2023, le monde découvrait avec stupéfaction, effroi et colère un événement que l'on ne croyait plus possible. Il s'agit bien sûr du pogrom – car il n'y a pas d'autre mot pour désigner l'action menée ce jour-là par le Hamas – perpétré en Israël par le mouvement terroriste palestinien. Stupéfaction, effroi et colère car cette action a dépassé en horreur tout ce que l'on pouvait imaginer : vieillards, femmes, enfants, et même nouveau-nés, assassinés, violés, torturés,

 MICHEL

TU VAS NOUS LAISSER UN GRAND 

BLANC

 

Près de la ville israélienne d'Arad, mardi 2 octobre 2024, les restes d'un missile tiré la veille par l'Iran