Près de la ville israélienne d'Arad, mardi 2 octobre 2024, les restes d'un missile tiré la veille par l'Iran

 

 

Le documentaire Bardot en route pour le Festival de Cannes 2025

Les premières images du film documentaire par Pathé Live, Bardot, seront projetées ce samedi 28 septembre à Saint-Tropez à l'occasion des 90 ans de Brigitte Bardot.

BB dans son cocon de la Garrigue et telle qu’elle apparaîtra dans le film qui lui est dédié à venir sur grand écran en mai2025. Photo DR

HOMMAGE

 

Hommage de Renaud Muselier au président Jacques Chirac, cinq ans après son décès.

Un grand homme, un homme d'État, qui portait une vision nouvelle et forte pour la France. Heureux et honoré d'avoir servi mon pays à ses côtés, en tant que secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères, lorsqu'il était président de la République.

Aujourd’hui, je sais que nous serons nombreux à penser à lui.

CADEAU !

 

A l'occasion de la passation de pouvoir, Le Maire a bien offert à son successeur Antoine Armand un makila basque. «Le makila est un bâton de marche. Il t’aidera donc à franchir les cols. Mais il est aussi une arme de défense. Il t’aidera à affronter les périls nombreux que tu affronteras sur ton chemin», a expliqué le désormais ex-ministre.  Pour retrouver les articles de Chez Pol, c'est juste ici

 L'anniversaire. 

Le 24 septembre 1724 était créée la Bourse de Paris. Soit près de trois quarts de siècle avant celle de New York. Deux institutions qui ont inspiré quelques bons mots.

Alphonse Allais : «Il y a des circonstances où il faut s'abstenir de jouer à la Bourse, aux courses, au baccarat ou à la roulette : primo, quand on n'a pas les moyens et secundo, quand on les a».

Mark Twain : «Octobre est un mois particulièrement dangereux pour spéculer en bourse. Mais il y en a d'autres : juillet, janvier, septembre, avril, novembre, mai, mars, juin, décembre, août et février».

Willy : «Un financier digne de ce nom ne va pas à la Bourse, il y "vole"».

Et un anonyme (vous allez comprendre pourquoi) : «Le mariage est une Bourse où les actions se convertiraient, tôt ou tard, en obligations».

 «Je m’appelle Prisca Thevenot. (...) Mais je m’appelle aussi Prisca Balasoobramanen. Je suis la fille de deux immigrés qui m’ont appris l’amour de la France, le respect de notre République et le choix du silence face aux polémiques. Je suis la preuve qu’on peut être binationale et profondément patriote française», a-t-elle renchéri. Un discours qui fait écho à celui de l’ex-ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, lors de sa passation de pouvoirs avec Bruno Retailleau, plus tôt dans la journée. «Je m’appelle Gérald Moussa Jean Darmanin. Mon père voulait écrire Moussa Darmanin, du nom de mon grand-père tirailleur algérien qui avait servi la France. Il est assez évident que si je m’étais appelé Moussa Darmanin, je n’aurais pas été élu maire et député et sans doute je n’aurais pas été nommé ministre de l’Intérieur du premier coup»