«Je m’appelle Prisca Thevenot. (...) Mais je m’appelle aussi Prisca Balasoobramanen. Je suis la fille de deux immigrés qui m’ont appris l’amour de la France, le respect de notre République et le choix du silence face aux polémiques. Je suis la preuve qu’on peut être binationale et profondément patriote française», a-t-elle renchéri. Un discours qui fait écho à celui de l’ex-ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, lors de sa passation de pouvoirs avec Bruno Retailleau, plus tôt dans la journée. «Je m’appelle Gérald Moussa Jean Darmanin. Mon père voulait écrire Moussa Darmanin, du nom de mon grand-père tirailleur algérien qui avait servi la France. Il est assez évident que si je m’étais appelé Moussa Darmanin, je n’aurais pas été élu maire et député et sans doute je n’aurais pas été nommé ministre de l’Intérieur du premier coup»
lundi 23 septembre 2024
HOMMAGE
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