mercredi 6 juin 2018

D-DAY






D-Day, au coeur des combats
Les soldats Mac Evans et Van Roosen, qui avaient 17 et 19 ans le 6 juin 1944, racontent leur première nuit en terre normande. Ils reviennent ainsi notamment sur la lente et sanglante progression de leur première division vers Saint-Lô, ville dont les troupes devaient prendre le contrôle



D-Day, au cœur des combats 


Résumé de D-Day, au cœur des combats 

Dans les premières heures du 6 juin 1944, avant que l'infanterie alliée se lance à l'assaut des cinq plages de Normandie ciblées par l'opération Overlord, les parachutages de soldats débutent. Ils ont notamment pour but de s'emparer des axes reliant la plage à l'intérieur des terres, de contrôler les ponts et de s'emparer des localités et des nœuds routiers, donc d'empêcher l'avancée de renforts allemands et de désorganiser l'ennemi. Les Américains sont les premiers à sauter. L'ancien parachutiste du 507e régiment Johnny Marr se souvient de la confusion qui a régné lors de l'atterrissage, certains de ses compagnons d'armes s'étant noyés dans les marais

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Résumé
Dans les premières heures du 6 juin 1944, avant que l'infanterie alliée se lance à l'assaut des cinq plages de Normandie ciblées par l'opération Overlord, les parachutages de soldats débutent. Ils ont notamment pour but de s'emparer des axes reliant la plage à l'intérieur des terres, de contrôler les ponts et de s'emparer des localités et des noeuds routiers, donc d'empêcher l'avancée de renforts allemands et de désorganiser l'ennemi. Les Américains sont les premiers à sauter. L'ancien parachutiste du 507e régiment Johnny Marr se souvient de la confusion qui a régné lors de l'atterrissage.

D-Day, au coeur des combats

L'opération Overlord, nom de code de la bataille de Normandie menée par les Alliés en France à partir du 6 juin 1944, racontée par ceux qui l'ont vécue.

74e D-Day



 Ils perdent la même bataille depuis douze ans

  • Malgré le panache affiché, les membres des Lufteaux finissent toujours tués ou capturés.
    Malgré le panache affiché, les membres des Lufteaux finissent toujours tués ou capturés. | OUEST-FRANCE/ARNAUD LE GALL
  • Certains GI ne souhaitent pas prendre part aux combats. 
    Certains GI ne souhaitent pas prendre part aux combats.  | OUEST-FRANCE/ARNAUD LE GALL
  • Un public familial a assisté à la «fausse bataille». 
    Un public familial a assisté à la «fausse bataille».  | OUEST-FRANCE/ARNAUD LE GALL
  • Derrière l’auto-mitrailleuse, les renforts allemands arrivent sur le front
    Derrière l’auto-mitrailleuse, les renforts allemands arrivent sur le front | OUEST-FRANCE/ARNAUD LE GALL
  • La bataille des haies offrait un spectacle très réaliste. 
    La bataille des haies offrait un spectacle très réaliste.  | OUEST-FRANCE/ARNAUD LE GALL
  • Les Allemands disposaient d’un char pour se défendre. 
    Les Allemands disposaient d’un char pour se défendre.  | OUEST-FRANCE/ARNAUD LE GALL
  • Concentrés, les acteurs prononçaient leurs ordres en allemand. 
    Concentrés, les acteurs prononçaient leurs ordres en allemand.  | OUEST-FRANCE/ARNAUD LE GALL
  • Les Américains progressent. 
    Les Américains progressent.  | OUEST-FRANCE/ARNAUD LE GALL
  • Les prisonniers sont désarmés et rassemblés. 
    Les prisonniers sont désarmés et rassemblés.  | OUEST-FRANCE/ARNAUD LE GALL
  • Les Américains triomphent. 
    Les Américains triomphent.  | OUEST-FRANCE/ARNAUD LE GALL
  • Le spectacle de joue sous les yeux de nombreux spectateurs, dont beaucoup de touristes étrangers. 
    Le spectacle de joue sous les yeux de nombreux spectateurs, dont beaucoup de touristes étrangers.  | OUEST-FRANCE/ARNAUD LE GALL
  • En dehors des spectacles, deux camps américain et allemand ont été installé sur le site de la batterie. 
    En dehors des spectacles, deux camps américain et allemand ont été installé sur le site de la batterie.  | OUEST-FRANCE/ARNAUD LE GALL
  • Les visiteurs intéressés pouvaient poser des question sur le matériel exposé. 
    Les visiteurs intéressés pouvaient poser des question sur le matériel exposé.  | OUEST-FRANCE/ARNAUD LE GALL


74e D-Day en continu
  • 74e D-Day. L’humoriste Eddie Izzard redébarque le 6 juin





    Certains GI ne souhaitent pas prendre part aux combats. 




    Où qu’ils aillent, les Lufteaux sont toujours terrassés. Dans le rôle des Allemands, les reconstituteurs participaient aux commémorations du Débarquement les samedi 2 et dimanche 3 juin, installés sur le site de la batterie de Crisbecq, près de Saint-Mère-Eglise (Manche).

    Chaque fois, l’issue est la même. Depuis la fondation de l’association Les Lufteaux en 2006 près de Rouen, ses membres se font tirer dessus par des Américains qui capturent leur position, sous les acclamations du public unilatéralement favorable à leurs adversaires. Pour la quatrième année, cette scène se déroulait à Saint-Marcouf-de-l’Isle (Manche), sur le site de la batterie de Crisbecq, pour les commémorations du Débarquement de Normandie. Au cours du week-end des 2 et 3 juin, les 25 soldats allemands factices ont ainsi mordu la poussière à quatre reprises.

    Reconstitution. | OUEST-FRANCE/ARNAUD LE GALL

    « Une évocation des combats »

    Si elle ne fait pas référence à une véritable bataille, la reconstitution se veut représentative des affrontements de 1944.  « C’est une évocation des combats » , résume David Desgardin, le président de l’association, qui compte une quarantaine de membres venant de toute la France. D’un côté, les Lufteaux crient leurs ordres dans la langue de Goethe. En face, d’autres acteurs, uniformes de GI sur le dos, progressent de haie en haie, communiquant en anglais. Tandis que les deux formations se rapprochent l’une de l’autre, les premiers coups de feu se font soudainement entendre, déclenchant des cris de surprise parmi les spectateurs. Une automitrailleuse, puis un char entrent ensuite en action, mais sont mis hors d’état de nuire. En quelques minutes les Américains encerclent les Allemands. Ceux qui ne sont pas tués sont capturés.

    Le conducteur de l’auto-mitrailleuse est capturé par les Américains.  | OUEST-FRANCE/ARNAUD LE GALL

    Une passion onéreuse

    C’est une nouvelle défaite pour les bénévoles de l’association, qui en redemandent.  « Ce qui fait plaisir aux gens c’est de se mettre en situation et, comme ce sont des passionnés, d’amener les spectateurs à s’intéresser à l’histoire » , explique David Desgardin. Jouer les militaires est toutefois une passion onéreuse. Uniformes et véhicules sont propriétés des membres qui dépensent d’importantes sommes pour les acquérir. Le char, par exemple, coûte autour de 50 000 € et il faut aussi financer son transport.  « Pour le faire venir de Rouen, il faut 1 500 € » , révèle le propriétaire.

    Propriétaire du char allemand, David Desgardin est aussi le président de l’association Les Lufteaux.  | OUEST-FRANCE/ARNAUD LE GALL
    Il faut aussi multiplier les démarches administratives, car porter une tunique de la Wehrmacht n’est pas anodin.  « On fait attention de ne pas faire d’apologie. Lors des reconstitutions, nous ne faisons pas de salut nazi, nous n’avons pas non plus de drapeau » , insiste le président des Lufteaux.
    L’an prochain, les passionnés reviendront célébrer le D-Day au même endroit, avec une nouvelle scénographie. Il s’agira de la prise d’un bunker. Ils établiront ensuite un camp à Mortain pour rejouer la libération du sud Manche.






samedi 26 mai 2018

SACRÉE TENTURE A PLOUMANACH...





Anne Guibert-Lassalle a tissé Ploumanac'h fil à fil

Trente planches de dessins de maisons et de croquis d'habitants ont été réalisées. Catherine Pontailler (à gauche) et Anne Guibert-Lassalle ont présenté les résultats du partenariat. La tenture, faite des dons des habitants, mesure près de 2,50 m.
Trente planches de dessins de maisons et de croquis d'habitants ont été réalisées. Catherine Pontailler (à gauche) et Anne Guibert-Lassalle ont présenté les résultats du partenariat. La tenture, faite des dons des habitants, mesure près de 2,50 m. | 

Après 5 mois de rencontres, l'artiste a achevé sa mission : 30 planches dessinées et une tenture de 2,50 m. Des oeuvres à découvrir dans son atelier puis à l'école de Ploumanac'h.

À Ploumanac'h, difficile de ne pas l'avoir aperçue et même reçue chez soi. Qui ? L'artiste Anne Guibert-Lassalle. Tout l'hiver, sa planche à dessiner et son crayon à la main, elle a arpenté les rues du village dans l'objectif d'en faire une oeuvre : Ploumanac'h fil à fil.
Après cinq mois, le travail est enfin accompli. Ce n'est pas une mais deux oeuvres qui sont à découvrir : des dessins de chaque maison ainsi qu'une tenture faite de centaine de morceaux de tissu donnés par les habitants.
Plus de 150 personnes rencontrées
Vendredi soir, la ville invitait à une restitution du projet artistique dans l'atelier de l'artiste. « Anne Guibert-Lassalle, plasticienne et docteure en sociologie de l'art, a eu cette idée en 2016. Un projet mêlant art, vie locale, gens et habitat. Nous avons signé un partenariat en 2017, expliqueCatherine Pontailler, adjointe à la culture de Perros-Guirec. C'est un inventaire pictural sans intrusion. Elle a frappé aux portes, rencontré les habitants qui vivent là. »
L'artiste à son tour a livréquelques commentaires : « J'ai eu beaucoup d'entretiens semi-directifs. Je n'ai pas pris de notes. Pour le tissage, j'ai avancé au fur et à mesure des dons, des petits bouts de laine, des mots, des bouts de cordage. J'ai été extraordinairement bien reçue. J'ai adoré ce projet. J'ai vu entre 150 et 200 personnes. »
Le résultat, ce sont 30 planches dessinées et aquarellées, ainsi qu'une tenture qui mesure près de 2,50 m. Elles sont visibles à l'étage de l'atelier jusqu'au 31 mai. Ensuite, propriétés de la ville, elles seront stockées avant d'être probablement exposées, à la rentrée, à l'école de Ploumanac'h. « Quel meilleur endroit que cette école pour y exposer ces oeuvres ? »
Vendredi, le public va et vient, admiratif du travail accompli. Françoise ne tarit pas d'éloges sur Anne : « Ce qu'elle fait ici me plaît beaucoup, son travail sur Ploumanac'h, sa réflexion... ce sont des sources d'enchantement pour moi. »
Jusqu'au 31 mai, « Ploumanac'h fil à fil » est visible à l'atelier d'Anne Guibert-Lassalle, sur le port de Ploumanac'h, 98, chemin de la Pointe, de 12 h à 16 h les lundis, mardis, jeudis et samedi.

vendredi 25 mai 2018

LU POUR VOUS





Le saviez-vous ?



La 13e division de montagne de la Waffen SS Handschar était composée de musulmans !                


13e Waffen-Gebirgs-Division der SS Handschar
Image illustrative de l'article 13e division de montagne de la Waffen SS Handschar
Insigne de la 13e division de montagne de la Waffen-SS Handschar

Création1943
Dissolution1945
PaysÉtat indépendant de Croatie
AllégeanceFlag of the German Reich (1935–1945).svg Allemagne nazie
BrancheSchutzstaffel SS.svg Waffen-SS
TypeDivision SS
RôleChasse aux partisans
Effectif21 000
GuerresSeconde Guerre mondiale

Durant la Seconde Guerre mondiale, Hitler tenta d’employer l’islam et les musulmans comme une arme contre les juifs. 





Joyeux 100 ans maman chérie

  LES VOIX DU CIEL Paroles et Musique: Charles Trenet © - 1961 - Chappell  Les voix du ciel Pour nous se font entendre Au cœur des nuits, De...