mardi 8 mai 2018
lundi 7 mai 2018
Bataille de Diên Biên Phu
personne n'en a parlé cette année....
Bataille de Diên Biên Phu
Situation de Dien Bien Phu.
Date | 13 mars - 7 mai 1954 |
---|---|
Lieu | Diên Biên Phu (province de Lai Châu, Nord Viêt Nam) |
Issue | Victoire décisive du Viêt Minh |
Việt Minh | Union française |
Võ Nguyên Giáp | Christian de Castries |
13 mars : 48 000 combattants 15 000 hommes en support logistique 7 mai : 80 000 hommes en comprenant les services et la chaîne logistique. | 13 mars : 10 800 hommes 7 mai : 14 014 hommes (services et logistique) |
Chiffres officiels Việt Minh : 4 020 morts 9 118 blessés 792 disparus1 Estimations françaises2,3 : 8 000 tués 15 000 blessés | 2 293 morts 5 195 blessés 11 721 prisonniers (dont 3 290 survivants et 7 801 morts ou disparus) |
Batailles
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La bataille de Diên Biên Phu (Điện Biên Phủ selon l'orthographe vietnamienne) est un moment clé de la guerre d'Indochinequi se déroula du au et qui opposa, au Tonkin, les forces de l'Union française aux forces du Việt Minh, dans le Nord du Viet Nam actuel.
Occupée par les Français en novembre 1953, cette petite ville et sa plaine environnante devinrent l’année suivante le théâtre d'une violente bataille entre le corps expéditionnaire français, composé de diverses unités de l’armée française, des troupes coloniales et autochtones, sous le commandement du colonel de Castries (nommé général durant la bataille), et l’essentiel des troupes vietnamiennes (Việt Minh) commandées par le général Giáp.
Cette bataille se termina le 7 mai 1954 par arrêt du feu, selon les consignes reçues de l'état-major français à Hanoï. Hormis l'embuscade du groupe mobile 100 à An Khé, en juin 1954, la bataille de Diên Biên Phu fut le dernier affrontement majeur de la guerre d'Indochine. Cette défaite des forces françaises accéléra les négociations engagées à Genève pour le règlement des conflits en Asie (Corée et Indochine).
La France quitta la partie nord du Viêt Nam, après les accords de Genève signés en juillet 1954, qui instauraient une partition du pays de part et d'autre du 17e parallèle nord.
LA FIN DE L'INNOCENCE ??
Pour Emmanuel Macron, "l'histoire de notre pays, c'est une histoire d'absolu, c'est un amour de la liberté au-delà de tout, c'est une volonté de l'égalité réelle".
"Le colonel Beltrame est mort parce que la France, ce sont des idées, des valeurs, quelque chose d'une guerre qui le dépasse. Les gens qui pensent que la France, c'est une espèce de syndic de copropriété où il faudrait défendre un modèle social qui ne sale plus (...)" et où l'"on invoque la tragédie dès qu'il faut réformer ceci ou cela, et qui pensent que le summum de la lutte c'est les 50 euros d'APL, ces gens-là ne savent pas ce que c'est que l'histoire de notre pays",
"La France est une monarchie sans-culottisme"
Alors qu'il évoque la mort sacrificielle du colonel Beltrame, Emmanuel Macron se lâche contre "les petits bourgeois de la pensée" et se lance dans une longue tirade : "Il n'y a plus d'aventure importante parce qu'on ne risque plus sa vie. Et même l'amour a moins de sel parce qu'il est rendu possible. Les histoires amoureuses sont possibles parce qu'il y a des interdits." Il vante alors "l'absolu", comme il l'avait fait lors de la cérémonie d'hommage aux Invalides, et reprend son harangue sur "les gens qui pensent que la France est une espèce de syndic de copropriété où il faudrait défendre un modèle social qui ne sale plus, une République dont on ne connaît plus l'odeur", sur ceux qui pensent que "le summum de la lutte, c'est les 50 euros d'APL(aide personnalisée au logement), ces gens-là ne savent pas ce qu'est l'histoire de notre pays. L'histoire de notre pays, c'est une histoire d'absolu".
Un peu plus tôt, le chef de l'Etat répond à ceux qui ont critiqué ses choix de lieux symboliques et son hommage à Johnny : "Ils n'aiment ni le pouvoir, ni le peuple. Ils aiment l'entre soi d'un commentaire fatigué et d'un post-modernisme en déficit complet d'imagination." C'est bien ciselé, même si on n'est pas absolument certain d'avoir tout compris...
Dans ce film, en prend aussi pour son grade (forcément) le général Pierre de Villiers, qui a démissionné de son poste de chef d'état-major des armées en juillet 2017, à la suite d'un différend avec le président de la République. Macron s'explique : "Il y a une autorité politique, (...) les débats ne sont pas publics. Les règles de commandement comme la séparation des pouvoirs impliquaient une hygiène démocratique. (..) Les gens s'étaient habitués à ce qu'il n'y ait plus de commandement ou que le commandement soit erratique."
"Ce qui compte, c'est de savoir ce qu'on veut imprimer. (...) Les gens s'habituent à ne plus rien écouter, ni absorber, c'est un flux où plus rien n'est pondéreux. C'est mortel pour qui gouverne et c'est mortel pour qui préside."
Bertrand Delais est documentariste et journaliste. Il a récemment écrit: "Iran,
un brasier sous les cendres" aux Editions des presses du midi.
Il a réalisé 2 documentaires d'entretiens avec Emmanuel Macron,
dont le récent "En Marche vers l'Elysée" diffusé sur France 2. 44
Emmanuel Macron persiste et signe. Pour le chef de l’État, le coup de rabot de 5 € sur l’Allocation personnalisée au logement (APL) était justifié. Et selon lui, ceux qui critiquent cette décision se trompent de priorités. Le président les invite à ne pas se tromper de valeurs en convoquant l'histoire et Arnaud Beltrame.
Voilà une sortie présidentielle qui pourrait bien faire polémique... Emmanuel Macron critique « ceux qui pensent que le summum de la lutte c’est les 50 € d’APL », et les met en regard des « valeurs » pour lesquelles le colonel Beltrame est mort lors des attentats de Trèbes, dans un documentaire qui doit être diffusé lundi sur France 3.
« Le colonel Beltrame est mort parce que la France, ce sont des idées, des valeurs, quelque chose d’une guerre qui le dépasse. Les gens qui pensent que la France, c’est une espèce de syndic de copropriété où il faudrait défendre un modèle social qui ne sale plus […] » et où l'« on invoque la tragédie dès qu’il faut réformer ceci ou cela, et qui pensent que le summum de la lutte c’est les 50 € d’APL, ces gens-là ne savent pas ce que c’est que l’histoire de notre pays », déclare-t-il dans un extrait du documentaire diffusé sur France Inter
(Les propos d'Emmanuel Macron sont à écouter à partir de 1'30)
« L’histoire de notre pays, c’est une histoire d’absolu, c’est un amour de la liberté au-delà de tout, c’est une volonté de l’égalité réelle », ajoute le président de la République. « Emmanuel Macron, la fin de l’innocence », réalisé par Bertrand Delais, proche du président et nouveau PDG de La chaîne parlementaire LCP-AN, doit être diffusé lundi soir sur France 3, alors que M. Macron achève sa première année à l’Elysée.
Une « mauvaise décision » pour Denormandie
La baisse à l’automne dernier des APL (aides personnalisées au logement), de 5 € mensuels pour 6,5 millions de ménages bénéficiaires, sans distinction, avait été vivement critiquée par les ONG de défense des mal-logés, les bailleurs sociaux et certains syndicats.
Dimanche, le secrétaire d’Etat à la Cohésion des territoires, Julien Denormandie, a reconnu sur France 3 que cette baisse avait été une « mauvaise décision ».
« Nous avons corrigé la chose, nous avons lancé une réforme de fond sur le logement social qui fait que demain, il n’y aura plus aucun perdant aux APL », a-t-il ajouté.
dimanche 6 mai 2018
CHRONIQUE DE LA VIE DE CHÂTEAU...
« Ode à un despote dans la compote »
« Ô bien aimé despote,
Que Dieu nous tripote,
Vous voici dans la compote!
Ceux de vos zélotes,
Qui s’épandaient en parlottes,
Tels de petits Hérodotes,
Hier à flétrir la politique vieillotte,
Aujourd’hui à feindre n’être plus de vos potes,
A des fins d’embrasser la cause cheminote,
A défiler derrière le panache de Monsieur de Besancenotte,
Jurant de faire de votre Château une paillotte,
De l’archiduchesse Brigitte, une sans culotte!
Croyez-vous, Sire, qu’ils radotent?
Croyez-vous encore qu’en vain, ils jabotent?
Ces cohortes de pleurotes,
A geindre sur le sort de leur pelote,
Se prennent de dire que le despote mégote,
Radin pour les gueux et les vieux, munificent pour les jackpotes!
Sire, vous voici à quémander l’antidote,
Chez Monsieur de Pernotte,
A vendre vos carottes,
Pour de la gnognote »
Que Dieu nous tripote,
Vous voici dans la compote!
Ceux de vos zélotes,
Qui s’épandaient en parlottes,
Tels de petits Hérodotes,
Hier à flétrir la politique vieillotte,
Aujourd’hui à feindre n’être plus de vos potes,
A des fins d’embrasser la cause cheminote,
A défiler derrière le panache de Monsieur de Besancenotte,
Jurant de faire de votre Château une paillotte,
De l’archiduchesse Brigitte, une sans culotte!
Croyez-vous, Sire, qu’ils radotent?
Croyez-vous encore qu’en vain, ils jabotent?
Ces cohortes de pleurotes,
A geindre sur le sort de leur pelote,
Se prennent de dire que le despote mégote,
Radin pour les gueux et les vieux, munificent pour les jackpotes!
Sire, vous voici à quémander l’antidote,
Chez Monsieur de Pernotte,
A vendre vos carottes,
Pour de la gnognote »
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