vendredi 27 novembre 2015
lundi 16 novembre 2015
jeudi 12 novembre 2015
MARDI 7 SEPTEMBRE 1960 A BREST
Le général De Gaulle à Brest
(mardi 7 septembre 1960)
En 1960, la visite du Président de la République
Le général de Gaulle fait sa deuxième visite officielle en tant que président de la République.
Le 7 septembre, il prononce un discours place de la Résistance. Le lendemain, il part pour l’île de Sein inaugurer le mémorial de la France Libre
La phrase en breton
Place de la Résistance, dans son discours radiodiffusé, le général de Gaulle puise à la source bardique : il déclame quelques vers en breton extrait des poèmes écrits 105 ans auparavant par son grand-oncle, le celtisant Charles de Gaulle. « Va c’horf zo dalch’het, med daved hoc’h nij va spered, vel al labous, a denn askel, nij da gaout he vreudeur a bel. » « Mon corps est retenu mais mon esprit vole vers vous, comme l’oiseau à tire d’aile vole vers ses frères qui sont au loin. »
Venu une première fois à Brest, le 15 juin 1940, pour embarquer sur « le Milan » et gagner l’Angleterre, puis en juillet 1945, le Général De GAULLE retrouve la cité du Ponant en ce début de mois de septembre 1960, cette fois-ci en tant que Président de la République.
Ce 7 septembre, il est chaleureusement accueilli par une foule de 50 000 personnes. Il décore la ville de la médaille de la Résistance (photographie) et déclare :
« Je vois ici l’avenir de la France s’élever au-dessus de son passé en gardant la flamme et la tradition de nos aïeux, mais sans en garder la cendre ».
Cet accueil triomphal est à l’opposé de celui qui lui sera réservé lors de sa visite de mars 1969. Il est vrai que l’époque changea entretemps : le climat d’adhésion sans partage à l’homme du 18 juin a cédé la place à un climat de contestation politique et sociale vis-à-vis du Président De Gaulle, qui démissionne 2 mois plus tard.
Cet accueil triomphal est à l’opposé de celui qui lui sera réservé lors de sa visite de mars 1969. Il est vrai que l’époque changea entretemps : le climat d’adhésion sans partage à l’homme du 18 juin a cédé la place à un climat de contestation politique et sociale vis-à-vis du Président De Gaulle, qui démissionne 2 mois plus tard.
1960 (7 septembre) : Remise de la médaille de la Résistance à la ville par le Général de Gaulle |
Une petite fille, Barbara Jolivet, dont le grand-père le Commandant Mudès de Bégard fut l'un des premiers combatttants des F.F.I. à Londres, a remis au Président de la République, un bouquet tricolore
lundi 9 novembre 2015
LUNDI 9 NOVEMBRE 1970 - LUNDI 9 NOVEMBRE 2015
Il y a quarante cinq ans, les derniers mots du général de Gaulle : « J'ai mal dans le dos…»
C’est dans son salon de Colombey-les-Deux-Eglises que le général de Gaulle est mort, le lundi 9 novembre 1970, un an et demi après avoir démissionné de la présidence de la République. A l'occasion de cet anniversaire, Nicolas Sarkozy se rend aujourd'hui mardi 9 novembre 2010 en compagnie de François Fillon à Colombey-Les-Deux-Eglises pour fleurir la tombe du général, avant de déposer une seconde gerbe au pied de la Croix de Lorraine érigée à proximité.
« La vieillesse est un naufrage », avait dit de Gaulle à André Malraux, lui confessant combien il redoutait une fin longue et douloureuse qui l’aurait diminué durablement. Son vœu implicite fut exaucé.
Le 9 novembre 1970, à quelques jours de son quatre-vingtième anniversaire, le général est dans sa résidence de Colombey-les-deux-Eglises (Est de la France). Il est installé devant sa table de bridge, étalant ses cartes pour une réussite, dans l’attente du journal télévisé de 20h00. Pris d’un malaise, il murmure « j’ai mal dans le dos... » puis s’affaisse dans son fauteuil et perd connaissance. Sa femme Yvonne, seule à ses côtés, appelle le prêtre et le médecin. Celui-ci diagnostique une rupture d’anévrisme abdominal. Charles de Gaulle ne reprendra pas conscience, mais il aura le temps de recevoir les derniers sacrements avant de succomber.
« La France est veuve »
La mort soudaine de celui qui restera comme le chef de la France Libre sera tenue secrète toute la nuit, le temps que Madame de Gaulle prévienne leurs deux enfants. La nouvelle tombe sur les téléscripteurs dans la matinée du 10 novembre. Peu avant midi, le président Georges Pompidou s’adresse aux Français à la télévision : « La France est veuve... ».
Les Français sont sous le choc. De toute part on salue la mémoire du fondateur de la Ve République. Dans Le Figaro du 11 novembre, jour anniversaire de l’Armistice de 1918, un dessin de Jacques Faizant restera célèbre : sous les traits de Marianne, la France pleure, agenouillée, sur un chêne tombé à terre.
« Je ne veux pas d’obsèques nationales »
Il était ainsi fait qu'il ne pouvait que servir son pays, et, au milieu de notre tristesse, nous lui devons encore ceci d'avoir vu un jour, sous les voûtes de notre vieille cathédrale, les nations unies autour de nous dans le respect et l'amitié.
Sans doute leurs représentants sont-ils venus saluer une dernière fois le dernier des Grands de la Seconde Guerre mondiale, mais qui, dans cette foule attentive et muette, n'aura pas senti que la courtoisie diplomatique n'était qu'une des raisons mineures de ce concours inouï de délégations funèbres, et qui n'aura pas compris qu'il s'agissait de bien autre chose que d'un témoignage international d'admiration rendu au prestige d'un homme d'Etat ?
En fait, le monde politique a fait taire un instant ses dissentiments et ses ambitions pour s'incliner devant une volonté qui n'était pas une volonté de puissance, devant une grandeur qui devait bien peu de choses à la force, devant une intelligence tournée vers la paix, et, en fin de compte, c'est à « une certaine idée de la France » qu'il est venu rendre hommage.
ANDRE FROSSARD,
Le Figaro
La seule récompense
Nous pressentions qu'il tomberait d'un coup, comme ses frères, comme l'un des arbres de cette forêt des marches de l'Est où nous l'avons confiné deux fois... Il nous aura sauvés un jour du déshonneur, en chassant l'occupant des âmes françaises bien avant que les armées vinssent lui signifier ce congé sur le terrain ; il nous aura sauvés de la dictature et de la guerre civile, il nous aura rendu la confiance et l'amitié des peuples pauvres, il aura réconcilé la France avec l'image d'elle-même qu'elle avait distribuée à travers le monde, il aura reconstitué en sous-œuvre l'unité de son pays menacé de désintégration, il nous aura épargné la honte de retarder indéfiniment la libération des peuples auxquels nous avions enseigné la liberté, et nous lui aurons accordé l'an dernier, au mois d'avril, à la majorité, et pour reprendre une fois encore l'inoubliable mot du Soulier de satin, « la seule récompense qu'il méritât et qui fut digne de lui : l'ingratitude ». Il est parti avec ce viatique, précédé de peu par Edmond Michelet, son vieux compagnon, et il n'y aura pas de fin aux Mémoires ; mais cette mémoire n'aura pas de fin dans nos livres.
ANDRE FROSSARD,
Le Figaro
La famille s’attache à faire respecter scrupuleusement les dernières volontés du général, qu’il avait laissées dans un testament rédigé dès 1952 : « Je ne veux pas d’obsèques nationales » ; la cérémonie, « extrêmement simple », devra se dérouler « sans fanfare ni musique ». Ce vœu-là aussi est exaucé, même si la présence des caméras donne à l’événement une dimension sans commune mesure avec cet enterrement campagnard.
Sous l’œil de dizaines de millions de téléspectateurs, le cercueil couvert du drapeau tricolore, disposé sur un engin blindé, sort de «La Boisserie», la propriété familiale de Colombey. Le général est mis en terre ce 12 novembre dans l’après-midi. Il n’y a là que la famille, des gens du village, et quelques représentants de l’armée, seule participante officielle. Cette relative intimité tranche avec la messe solennelle célébrée quelques heures plus tôt à Notre-Dame de Paris, en présence de six mille fidèles et trente-trois chefs d’État du monde entier, dont les présidents américain et soviétique.
Elle tranche davantage encore avec l’hommage populaire rendu dès le début de la matinée, un demi-million de parisiens remontant, sous la pluie, les Champs-Elysées, pour aller déposer des fleurs sur la place de l’Etoile, qu’on n’allait pas tarder à rebaptiser place Charles-de-Gaulle.
« La France est veuve »
La mort soudaine de celui qui restera comme le chef de la France Libre sera tenue secrète toute la nuit, le temps que Madame de Gaulle prévienne leurs deux enfants. La nouvelle tombe sur les téléscripteurs dans la matinée du 10 novembre. Peu avant midi, le président Georges Pompidou s’adresse aux Français à la télévision : « La France est veuve... ».
Les Français sont sous le choc. De toute part on salue la mémoire du fondateur de la Ve République. Dans Le Figaro du 11 novembre, jour anniversaire de l’Armistice de 1918, un dessin de Jacques Faizant restera célèbre : sous les traits de Marianne, la France pleure, agenouillée, sur un chêne tombé à terre.
« Je ne veux pas d’obsèques nationales »
Editoriaux d'andré Frossard parus dans le Figaro au lendemain de la mort du général de Gaulle
Ces éditoriaux ont été publiés dans la revue Espoir avec l'aimable autorisation du Figaro
Il était ainsi fait qu'il ne pouvait que servir son pays, et, au milieu de notre tristesse, nous lui devons encore ceci d'avoir vu un jour, sous les voûtes de notre vieille cathédrale, les nations unies autour de nous dans le respect et l'amitié.
Sans doute leurs représentants sont-ils venus saluer une dernière fois le dernier des Grands de la Seconde Guerre mondiale, mais qui, dans cette foule attentive et muette, n'aura pas senti que la courtoisie diplomatique n'était qu'une des raisons mineures de ce concours inouï de délégations funèbres, et qui n'aura pas compris qu'il s'agissait de bien autre chose que d'un témoignage international d'admiration rendu au prestige d'un homme d'Etat ?
En fait, le monde politique a fait taire un instant ses dissentiments et ses ambitions pour s'incliner devant une volonté qui n'était pas une volonté de puissance, devant une grandeur qui devait bien peu de choses à la force, devant une intelligence tournée vers la paix, et, en fin de compte, c'est à « une certaine idée de la France » qu'il est venu rendre hommage.
ANDRE FROSSARD,
Le Figaro
La seule récompense
Nous pressentions qu'il tomberait d'un coup, comme ses frères, comme l'un des arbres de cette forêt des marches de l'Est où nous l'avons confiné deux fois... Il nous aura sauvés un jour du déshonneur, en chassant l'occupant des âmes françaises bien avant que les armées vinssent lui signifier ce congé sur le terrain ; il nous aura sauvés de la dictature et de la guerre civile, il nous aura rendu la confiance et l'amitié des peuples pauvres, il aura réconcilé la France avec l'image d'elle-même qu'elle avait distribuée à travers le monde, il aura reconstitué en sous-œuvre l'unité de son pays menacé de désintégration, il nous aura épargné la honte de retarder indéfiniment la libération des peuples auxquels nous avions enseigné la liberté, et nous lui aurons accordé l'an dernier, au mois d'avril, à la majorité, et pour reprendre une fois encore l'inoubliable mot du Soulier de satin, « la seule récompense qu'il méritât et qui fut digne de lui : l'ingratitude ». Il est parti avec ce viatique, précédé de peu par Edmond Michelet, son vieux compagnon, et il n'y aura pas de fin aux Mémoires ; mais cette mémoire n'aura pas de fin dans nos livres.
ANDRE FROSSARD,
Le Figaro
Sous l’œil de dizaines de millions de téléspectateurs, le cercueil couvert du drapeau tricolore, disposé sur un engin blindé, sort de «La Boisserie», la propriété familiale de Colombey. Le général est mis en terre ce 12 novembre dans l’après-midi. Il n’y a là que la famille, des gens du village, et quelques représentants de l’armée, seule participante officielle. Cette relative intimité tranche avec la messe solennelle célébrée quelques heures plus tôt à Notre-Dame de Paris, en présence de six mille fidèles et trente-trois chefs d’État du monde entier, dont les présidents américain et soviétique.
Elle tranche davantage encore avec l’hommage populaire rendu dès le début de la matinée, un demi-million de parisiens remontant, sous la pluie, les Champs-Elysées, pour aller déposer des fleurs sur la place de l’Etoile, qu’on n’allait pas tarder à rebaptiser place Charles-de-Gaulle.
"Le grand départ" : 9 novembre 1970, le décès du général de Gaulle
Le 9 novembre 1970 le général de Gaulle disparait et laisse la "France veuve". En 1952, il avait établi un testament exprimant son refus de funérailles nationales.
À Colombey-les-Deux-Églises, sa dépouille est transportée sur un engin blindé de reconnaissance vers la petite église, en présence de sa famille, des Compagnons de la Libération et des habitants de son village.
Il est enterré au cimetière auprès de sa fille Anne, avec une simple inscription sur sa tombe, "Charles de Gaulle 1890-1970".
Le 12 novembre, à Notre-Dame de Paris a lieu une cérémonie officielle avec les autorités de l'État et les personnalités étrangères.
Retrouvez à travers ce dossier l'émotion que sa disparation avait suscitée en France et dans le monde.
mercredi 21 octobre 2015
9 NOVEMBRE 2015
La messe annuelle du 9 novembre à la mémoire du Général de Gaulle et pour tous les Français Libres disparus sera célébrée en l'Eglise Saint Jacques de Perros-Guirec le lundi 9 novembre à 10h30
Nous espérons de nombreux participants fidèles au souvenir du Général et au devoir de mémoire
A 12h30 un repas sera organisé à Trestraou dans le souvenir mais aussi la joie et la bonne humeur et u hommage sera rendu aux disparus de l'année
http://www.france-libre.net/
Nous espérons de nombreux participants fidèles au souvenir du Général et au devoir de mémoire
A 12h30 un repas sera organisé à Trestraou dans le souvenir mais aussi la joie et la bonne humeur et u hommage sera rendu aux disparus de l'année
http://www.france-libre.net/
mardi 6 octobre 2015
MAMAN MON HEROINE A MOI
MÉMOIRE. (journal
Le Trégor du 13 aout 201
Marie-Thérèse
Jolivet, Résistante à 17 ans
Une
vingtaine de drapeaux d’associations patriotiques présents le jeudi
30 juillet à Ploumanac’h ont accompagné et rendu un dernier hommage à
Marie-Thérèse Jolivet, « Mythé » dans la Résistance.
Née le
18 septembre 1924, Marie-Thérèse Mudès vit à Bégard avec sa mère Maria et
ses deux frères alors âgés de 5 et 10 ans ainsi qu’avec sa grand-mère
maternelle, veuve de la guerre 14-18 dont le fils est mort à Verdun. Son père
le commandant Mudès est officier de Marine. Bientôt Maria reçoit cet
avis : « Par ordre de Vichy nous vous supprimons toute délégation de
solde pour le motif suivant : le navire que commande votre mari, le
commandant Mudès, bat pavillon à Croix de Lorraine et à ce titre est considéré
comme dissident. Il en est de même pour sa famille ». En effet, non
seulement le commandant Mudès est considéré comme dissident au régime de Vichy
mais avec son bateau et l’équipage, il quitte la Flotte de l’Etat Français en
juin 1940 pour rejoindre l’Angleterre, où il se met à la disposition du général
de Gaulle. Privée de la solde de son mari par le gouvernement de Vichy, Maria
doit se séparer de ses biens.
Clandestine
à 17 ans Marie-Thérèse suit des études de commerce. En juin 42 à Bégard,
elle est contactée par la Résistance. Désormais la jeune fille de 17 ans s’appellera
« Mythé » dans la clandestinité. Ses missions sont multiples. A
Kerguiniou en Ploubezre elle devient secrétaire pour le maquis, dactylographie
les tracts et le journal clandestin « le Patriote des
Côtes-du-Nord ». Agent de liaison et de renseignement, elle porte à
bicyclette les messages qui lui sont confiés ainsi que les tracts et le journal
et participe également au transport d’armes de poing et de leurs munitions,
d’un maquis à l’autre.
Dès son
entrée en Résistance, Marie-Thérèse passe un brevet de secouriste afin
d’obtenir un « ausweis » pour pouvoir circuler librement, y compris
dans la zone côtière interdite, grâce au petit fanion de la Croix-Rouge.
Cependant, disait-elle, « il n’aurait pas fallu que l’on regarde de trop près
le guidon et la pompe de ma bicyclette où je cachais les messages qui m’étaient
confiés ! »
Aplomb
Lorsqu’elle
évoquait son passé au service de la Résistance, MarieThérèse affirmait n’avoir
jamais eu peur y compris ce jour où elle fut arrêtée parce qu’elle portait des bottes :
« Je revenais de mission, mes bottes étaient vides, elles avaient déjà
livré leur secret. Les Allemands essayèrent bien de m’intimider en affirmant
que toutes les espionnes portaient des bottes, mais mon
jeune âge et
mon aplomb en la circonstance eurent raison de leur méfiance ». Un de ses
fabuleux souvenirs est le passage de l’aviation alliée sur Lézardrieux pour
mettre hors de combat l’escadre allemande faisant relâche dans le port, une
opération pour laquelle elle avait transmis le message par une des
ramifications de son réseau, le réseau « Turquoise-Blavet », dont
faisaient également partie ses cousins Simone et Yvon Jézéquel, tous deux
arrêtés en avril 1944.
« Elles
étaient toutes courageuses » De toute son existence, MarieThérèse n’a
cessé de rendre hommage au courage et au sacrifice des combattants de l’ombre
et de toutes les victimes de la barbarie nazie avec une pensée particulière
pour les membres de sa famille, gaullistes de la première heure, parmi lesquels
sa cousine Simone morte au camp de concentration de Ravensbrück, son cousin
Yvon mort au camp de concentration de Neuengamme, et pour un autre cousin
revenu de l’enfer du camp de la mort d’Auschwitz-Birkenau.
C’est avec
émotion que François Tassel, (Commandant Gilbert dans la Résistance),
responsable du Secteur Nord 1 des Côtes-duNord, parle de sa camarade
disparue : « Les femmes Résistantes étaient peu nombreuses. Elles
étaient toutes courageuses, conscientes du prix à payer si l’ennemi découvrait
leurs activités. Mythé faisait partie de ces personnes particulièrement
attachées à la France Libre et à la stricte application de l’appel du général
de Gaulle, multipliant les missions entre le réseau Blavet et le
maquis de Kerguiniou. Volontaire, discrète, prudente, elle connaissait parfaitement
l’organisation et les itinéraires du secteur Nord 1 et participait sur ma
demande, auprès de mes adjoints, aux réunions concernant nos activités ».
Titulaire de
la médaille des Combattants volontaires de la Résistance et de la Croix du
Combattant 39-45 avec agrafe « Libération », Marie-Thérèse Jolivet
venait d’être proposée pour le grade de Chevalier de l’Ordre de la Légion
d’Honneur.
Octobre
1942, Bégard. Marie-Thérèse (« Mythé » dans la clandestinité) est
agent de liaison. Titulaire de nombreuses décorations, elle est décédée le 25
Juillet dernier.
Inscription à :
Articles (Atom)
Aller au contenu principal Aller à la recherche des programmes Aller au pied de page Découvrez tout l’univers TF1 INFO Créer un compte Se ...
-
La conquête de l’Algérie, une « nouvelle croisade » Bataille d'Ascalon, 18 novembre 1177, tableau de Charles-Philippe Larivière, 1844 ...
-
1,2 million d'exemplaires Le Retour de Lagaffe , album au format classique de 48 pages, doit paraître le 19 octobre, avec un tirage à la...
-
l'Histoire de la monarchie britannique. Les artistes se produiront devant 22 000 personnes conviées. L'événement, retransmis dan...