dimanche 28 septembre 2025

  


J'ai eu un premier Covid testé mi juillet 2022 et c’était le variant Delta puis un second covid mi octobre 2024.

 J’étais très mal pendant 10 jours perte odorat et goût, un état général très affaibli avec courbatures importantes et surtout un toux très très forte au point d’avoir le goût du sang dans la gorge a force de tousser . 

Depuis le Covid monter un escalier est difficile,  je n’ai plus de souffle, j’ai mal à toutes mes articulations et une fatigue incroyable. J’ai récupéré le goût et l’odorat rapidement mais plus mon souffle . J’ai l’impression que tout mon corps se « rigidifie « j’ai perdu toute ma souplesse,   ramasser qq chose par terre est compliqué , ma concentration est limitée aussi je n’arrive plus à lire comme avant . 

 Tous les examens médicaux sont bons ( cardio,pneumo,apnée du sommeil,prise de sang complète, scanners thoraciques. ..) mon médecin traitant heureusement me crois mais elle est démunie . 

 Les gens quand j’en parle ne me croient pas et pensent que j’en rajoute...

Les douleurs et la fatigue s’accentuent de façon cyclique . 

Je vis avec et je profite au maximum des jours où ça va mieux . 


 



 

Journée mondiale pour le droit à l'avortemen

 

Une femme sur trois aura recours à l'IVG dans sa vie. Pourtant, exercer ce droit reste un parcours semé d'embûches.

Loi Veil, délai légal allongé, inscription du droit dans la Constitution... de petites victoires s'accumulent. Mais une barrière subsiste : la « clause de conscience ». En autorisant les médecins à refuser de pratiquer l'IVG, l'accès reste fragile et inégal.

En cette Journée mondiale pour le droit à l'avortement, Libération vous offre son numéro du 28 septembre 2018. Un numéro fort, toujours d’actualité.

Téléchargez-le au format numérique en cliquant ci-dessous.


 
 
 

 

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jeudi 18 septembre 2025

  Maman aurait eu 101 ans aujourd'hui...


Je lui témoigne mon immense affection et mon admiration pour ce qu’elle est et pour tout ce qu’elle a fait durant sa vie

Maman est pour moi un modèle d’intelligence, de ténacité, de finesse, mais aussi de fermeté lorsque nécessaire

Je la remercie pour tout ce qu’elle m’a appris, donné, transmis, tout ce qui fait ma force aujourd’hui.


Maman, mon idole



vendredi 12 septembre 2025

JEAN SVILARICH 1944-2019

 

JEAN SVILARICH 1944-2019

disparu en mer


Son premier vrai bateau de course est un Tina le F 4247 KRISHNA III acheté en 1976


Le voilier Tina est un monocoque course-croisière, construit par le chantier Carter Offshore en Pays-Bas. Ce voilier Quille fixe, gréé en Sloop en tête, réalisé par l'architecte naval Dick Carter, mesure 11.25 m de long. La production a démarré en 1967 et s'est terminée en 1969. 40 exemplaires du bateau ont été produits.




Eric Tabarly avait confronté son Pen Duick II à Krishna, qui alignait les victoires. ©Beken of Cowes



11 Classe III en 22h39'DAVID
Cannes-Calvi-Cannes: DNF

1968 SNIM, Marseille: 1er/?? Classe III
Giraglia: 3e/?? Classe III en 53h35' à 14" d'Helisara,

1969 SNIM, Marseille: ?e/?? Classe III,

1970 SNIM, Marseille: 1er/?? Classe III, Patrick DAVID, 21ans
Giraglia: 6e/?? Classe III,

1972 SNIM: 3e/? One TonnerREBOUD
Giraglia: 10e/16 Classe III en 67h08'

1976 Nouveau propriétaire, Jean SVILARICH, basé à Perros Guirec

1977 27 aout, 

 entre l'Angleterre et la France

1978 Mars "Régate"





"On retrouve la trace de ce "TINA Jaune" à Cherbourg dans les années 70/80 où il fréquentait assidûment les lignes de départ.

Il participe notamment aux fameuses régates du mardi soir !

Les époux  Svilarich ont beaucoup navigué et régaté en Bretagne, Angleterre, Irlande, puis Mediterranée,  Gréce et Turquie.

1996 Achat du bateau à Perros Guirrec par Mr PESCE qui raméne le bateau à Marseille et change son nom en

Pernez II, F 4247







JEAN SVILARICH
Jean SVILARICH
1944   2019
disparu en mer des Caraïbes 


.
Jean
Bateau actuel : Dean 441,  catamaran 

Monocoques précédents   : un Tina, KRISHNA III, puis un prototype ALUBAT "monomaran"  Eolis III
Programme : Atlantique Nord
Le + du catamaran : "Nous naviguons à deux le plus souvent, donc un bateau facile à manœuvrer est un vrai plus"

Jean a commencé à naviguer très jeune…en Bretagne.  La suite, c'est logiquement du dériveur, puis un petit cotre, Le Saint-Nicolas avant, à 30 ans, de s'acheter son premier voilier : un TINA, coursier des mers nommé KRISHNA III,  peint en jaune safran!  

Ensuite, le cotre alu Alubat à été vendu car il a acheté un Dean 441 ! 

"Mes navigations m'ont permis de naviguer en Bretagne et sur les côtes d'Angleterre et d'Irlande. Puis je suis descendu sur les côtes cantabriques et connu toutes la Méditerranée avec mon épouse Barbara à l'époque où toutes ces côtes étaient encore " civilisées" comme la Tunisie,  la Lybie, la Grèce, la Turquie, la Croatie (jusqu'à Venise).... 


Naviguant le plus souvent à deux, et conscient qu'à 70 ans, on n'est plus aussi souple qu'à 20 ans, Jean et Barbara ont choisi le cata pour son confort, bien sûr, mais aussi pour sa facilité de manœuvre. Et puis compte tenu de leur programme de navigation,  c'est une vie dans les mouillages qui les attend, et Barbara n'aime pas, mais alors pas du tout la gîte d'un monocoque…
"Après avoir fait un tour de ce qui existe sur le marché, nous avons à opté pour le Dean qui nous donnait une possibilité d'aménagement à notre convenance à un prix raisonnable pour un bateau confortable et marin."






jeudi 11 septembre 2025

UN AN DE PLUS

 



Je ne compte plus les années, je compte les instants. 

J’ai moins de temps devant moi que derrière, alors je choisis de savourer chaque moment, comme les derniers bonbons d’un sachet qu’on veut faire durer. 

Plus de place pour l’absurde, la superficialité, l’égo. Je veux l’essentiel : la vérité, la tendresse, les gens vrais. 

Ceux qui touchent l’âme, qui rient de leurs erreurs, qui vivent avec le cœur. 

Je suis dans ma deuxième vie. 


 🌱 Covid long : l’avant, l’après… et le sentiment de perte d’identité. Vivre avec le Covid long, ce n’est pas seulement affronter des sympt...