Il y aura des paysages magnifiques sur la côte jusqu'à San Juan de Gaztelugatxe. Ensuite, on retournera dans les terres, vers ma ville natale de Gernika-Lumo, pour retrouver de nouveau la côte. Techniquement, les routes et les courbes du parcours ne poseront aucun souci mais la partie finale sera exigeante. La côte de Vivero est constante mais entraînera une sélection dans le groupe et la dernière difficulté (côte de Pike : 2 km à 10 %) demandera un effort très court et explosif. Peut être que certains essaieront de partir à l'avant mais je crois peu en leurs chances car le peloton arrivera sûrement groupé
Une fin d’étape relevée
Que l’on ne s’y trompe pas, la mise en jambes devra être rapide pour les coureurs. Le final sera explosif. Dans les 30 derniers kilomètres, il y aura un col de deuxième catégorie, la Côte de Vivero (4,2 km à 7,3%) puis une courte, mais raide montée de la Côte de Pike (2 km à 10%).